1. La mère et ses deux filles. (2)


    Datte: 29/07/2021, Catégories: Hétéro Auteur: zebre222, Source: Xstory

    ... la partie supérieure de mon pénis. Je la sentis se raidir, mais elle ne dit pas un mot et n’émit aucune protestation. Je savais que je lui faisais mal et je lui sus gré de ne rien en laisser paraître. De toutes les façons, même si elle avait protesté, j’aurais continué de la prendre en force. Cette pensée m’excitait tellement ! Mais devant cette absence de réaction négative, je me sentis encore plus le droit d’y aller franchement ; je me mis à l’enculer à la hussarde avec de grands gestes qui faisaient pénétrer le gland et la hampe jusqu’à ce que mes couilles rencontrent les fesses de ma belle. Je revenais rapidement à l’entrée du cul, pour repartir de plus belle au fond. Je ne savais pas si elle y prenait quelque plaisir, mais elle mit tout son cœur à m’accompagner par des mouvements de hanches circulaires et à se mettre à mon diapason pour me donner le maximum de plaisir.
    
    Je lui criai que j’adorai l’enculer. Que j’adorai enculer les femmes. Que je pouvais passer ma vie à ne faire que ça. Je lui disais que je voudrais qu’elle me suce la bite juste après l’avoir enculée. Je lui disais plein de choses, auxquelles elle ne répondait pas. Elle se contentait de m’accompagner, de gémir un petit peu (de plaisir ou de douleur ?) et de me faire éclater à l’intérieur de son cul si accueillant. Je déchargeai de manière violente, en lui envoyant plusieurs giclées de sperme brûlant et épais au fond du cul. Mes mouvements de va-et-vient, qui continuèrent jusqu’à ce que j’aie terminé ...
    ... d’éjaculer, avaient expulsé la presque totalité du sperme qui a ainsi coulé entre ses fesses, sur la rainure de sa chatte pour s’étaler par terre entre ses genoux. Une fois mon engin, encore raide, sorti de son cul, elle se retourna me fit me lever pour le lui présenter devant sa bouche et elle se mit à le sucer goulûment. Elle avait donc entendu tout ce que je lui disais et s’empressait de me faire plaisir.
    
    Je lui demandai de me dire franchement si elle avait aimé se faire enculer : elle m’a répondu que c’était la première fois qu’elle le faisait et qu’elle était prête à recommencer, mais seulement avec moi. Je n’avais pas trop bien compris ce que cela voulait dire, mais je lui étais reconnaissant de me l’avoir dit ainsi. (J’ai appris par la suite que ses relations sexuelles avec son mari étaient des relations traditionnelles, qui n’acceptaient pas les travers des relations libres. De temps en temps, pour assouvir ses désirs cachés, elle profitait de son absence pour copuler librement avec un voisin, dont la femme était frigide. Mais même avec cet amant, elle n’avait jamais pratiqué la sodomie, parce qu’elle n’avait jamais osé le lui demander et que lui-même s’interdisait de le faire).
    
    Nous nous reposâmes quelques instants puis elle m’invita à aller dans sa chambre pour faire l’amour comme elle voulait, elle. La chambre était coquette, fraîche et bien tenue ; le lit accueillant et assez grand pour permettre des ébats torrides. Fahima me demanda de m’installer sur le lit, ...
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