La mère et ses deux filles. (2)
Datte: 29/07/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: zebre222, Source: Xstory
Dalila et moi sommes restés ensemble longtemps. Mais elle n’habitait pas avec moi (je n’avais jamais voulu partager ma vie avec une femme ; je préférais rester libre pour accueillir toutes les aventures que la vie voudrait bien m’offrir). Mais comme j’étais vraiment amoureux d’elle, je ne voulais pas qu’elle fût trop loin de moi. Je l’avais donc installée avec ses parents au rez-de-chaussée de mon immeuble (J’avais offert à ses parents le poste de syndic de l’immeuble, qui leur permettait de disposer de deux salaires et d’un logement gratuit et en même temps à Dalila d’être près de moi, à ma disposition).
Dalila continuait ses études ; elle avait décroché son bac et était entrée à l’université pour y étudier le droit. Nous passions souvent des nuits ensemble à faire l’amour, avec chaque fois, de nouvelles choses à expérimenter. Je crois avoir fait avec elle tout ce qu’il était possible de faire pour assouvir des penchants sexuels quelque peu pervers. Elle se renseignait beaucoup et chaque fois, elle apportait avec elle une idée nouvelle qui aiguisait ses sens et qu’elle voulait expérimenter. Sa dernière idée était de me partager toute une nuit avec une nouvelle amie étudiante, qui lui plaisait beaucoup physiquement et avec laquelle elle voulait entreprendre une expérience homosexuelle. (Je vous raconterais peut-être un jour cette folle nuit. Mais pour le moment parlons plutôt de mon aventure avec sa maman, Fahima).
J’ai fait la connaissance de la maman de Dalila, le ...
... jour où elle et sa famille étaient venues prendre possession de l’appartement du rez-de-chaussée. C’était une femme d’une quarantaine d’années, grande et très bien conservée ; elle était un peu forte, mais sans trace de graisse. Ce qui était le plus apparent chez elle, c’est sa croupe qu’elle avait proéminente et naturellement cambrée, comme une pouliche. Elle était habillée d’une longue et large robe d’intérieur en coton, d’un ton orange ; la robe trop large ne donnait rien à voir de ses rondeurs, mais laissait deviner un corps plantureux et généreux. La première fois que l’ai vue, je ne lui ai pas prêté plus d’attention ; j’étais encore sous le charme de Dalila et ne voyais qu’elle. Ce n’est que longtemps après, à la suite d’un malentendu avec sa fille avec qui j’avais rendez-vous, que je me retrouvais chez elle pour lui demander des explications sur son absence. Elle n’était pas à la maison. C’était sa maman qui m’accueillit. J’étais énervé et contrarié ; elle avait compris très vite que je pouvais devenir méchant, quand j’étais en colère.
Elle me pria donc d’entrer et m’expliqua que Dalila était à l’université et qu’elle ne devait pas rentrer avant dix-huit heures.
— Je crois qu’elle a oublié votre rendez-vous, me dit-elle ; il ne faut pas lui en vouloir, elle stresse fortement pour ses examens.
Elle me prépara un café tout en me parlant de choses et d’autres : du travail qu’elle accomplissait dans l’immeuble ; de la reconnaissance qu’elle avait pour moi, pour leur ...