La mère et ses deux filles. (2)
Datte: 29/07/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: zebre222, Source: Xstory
... avoir offert, à elle et à son mari, ce travail ; de sa deuxième fille, Feriel, qui venait d’avoir dix-huit ans et allait passer son bac ; et de beaucoup d’autres choses auxquelles je ne prêtais qu’une attention superficielle, pris que j’étais dans ma contrariété. Elle vint s’agenouiller devant moi pour me servir le café sur la petite table. Mes yeux tombèrent sur le décolleté discret qu’elle portait, mais qui grâce à la position agenouillée qu’elle prenait, laissait entrevoir la naissance de ses seins, que je devinais lourds, mais encore fermes. La couleur très blanche de sa peau me fit frissonner et procura une agréable sensation de chaleur à tout mon corps. Je commençais déjà à voir en elle autre chose que la maman de Dalila.
Sa position, à genoux devant moi, l’odeur agréable qui se dégageait d’elle (un léger parfum à base de cannelle), ses grands yeux noisette et le sourire énigmatique qu’elle arborait en permanence commençaient à me titiller et à me donner des idées bizarres. L’idée la plus saugrenue qui m’était venue à l’esprit était de vérifier qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. J’ai allongé ma main, comme pour prendre le café bien chaud qu’elle me tendait, mais au lieu qu’elle prenne la tasse tendue, elle alla palper sa poitrine à travers le tissu de sa robe. Elle eut un léger geste de recul, mais se reprit très vite. Elle me laissa faire ; elle posa la tasse de café sur la table basse et avança un peu plus vers moi pour permettre à ma main de palper la plus ...
... grande surface possible de sa poitrine.
Elle avait toujours aux lèvres ce sourire énigmatique dont je ne connaissais pas la signification. Evidemment, elle ne portait pas de soutien-gorge ; ses seins étaient effectivement lourds et volumineux, mais gardaient leur fermeté de jeune fille (malgré deux grossesses rapprochées). Je caressais longuement un sein, toujours à travers le tissu de la robe, puis l’autre. Elle ne laissait rien entrevoir de ce qu’elle pensait ; elle ne faisait aucun geste pour me montrer que cela lui plaisait, ni que ce que je faisais était déplacé. J’insistais dans mes caresses comme pris dans un piège, dont la seule manière de sortir était de créer en elle un émoi, qui m’aurait permis d’avoir raison.
Je m’enhardissais donc à introduire ma main à l’intérieur du décolleté pour caresser directement ses seins sans l’entremise du tissu. Les seins étaient fermes et leur peau encore très douce. Je pris entre le pouce et l’index un téton, y mettais une légère pression et le fis rouler longuement et en douceur. Je fis rentrer ma deuxième main dans son décolleté et m’occupai aussi du deuxième téton. Je vis son regard changer et s’adoucir et son sourire s’élargir et devenir plus expressif ; son souffle devint plus saccadé et ses lèvres commençaient à avoir des tics de désir. J’augmentais la pression de mes doigts ; elle se mit à gémir et à gigoter. Je retirai une main pour l’attraper par la nuque et l’attirer contre ma bouche. Je lui demandais de m’embrasser, ...