1. La mère et ses deux filles. (2)


    Datte: 29/07/2021, Catégories: Hétéro Auteur: zebre222, Source: Xstory

    ... tout en posant mes lèvres sur les siennes. Elle répondit à mon baiser à la manière d’une femme affamée. Ce fut un baiser violent, torride, humide, où la langue joue le rôle le plus important. Nos deux langues se rencontraient, s’entremêlaient, se quittaient et se reprenaient immédiatement après.
    
    Il me semblait que ce baiser avait duré une éternité. Quand nous nous quittâmes, tout essoufflés, nos regards se croisèrent ; je lui fis un grand sourire pour dégeler l’atmosphère ; elle y répondit en reprenant ma main et en la posant sur son deuxième sein (l’autre main était toujours en train de lui tripoter un téton).
    
    Elle se mit à gigoter en gémissant ; elle me prit par la taille pour m’inviter à la rejoindre par terre ; je descendis du fauteuil dans lequel j’étais assis et me mis à genoux à côté d’elle. Elle souleva sa robe et prit ma main pour l’introduire entre ses cuisses. Sa position à genoux ne permettait ni de voir entre ses cuisses, ni même de lui caresser l’entrecuisse. J’exerçais une pression assez forte sur son épaule pour qu’elle s’allonge par terre et permette à ma main de monter vers la naissance de ses cuisses. Je commençais à lui caresser l’intérieur des cuisses et à remonter doucement vers sa culotte. Elle portait une fine culotte dont la couleur noire créait un contraste saisissant avec la blancheur de la peau de ses cuisses. Je lui caressai légèrement son sexe à travers le tissu de sa culotte. Elle poussa un petit cri de plaisir et écarta encore plus ses ...
    ... cuisses ; j’écartai sa culotte pour dégager et voir sa chatte. Une merveille ! Pas un poil ; des grandes lèvres épaisses et fermes qui donnent à son sexe la forme de deux quartiers d’orange, de couleur sombre ; les lèvres intérieures rouges et luisantes ouvertes sur un vagin humide et sombre ; un clitoris petit, mais bien dessiné et ferme.
    
    Je fis entrer deux doigts entre ses grandes lèvres et me mis à jouer avec son clitoris ; elle s’était mise à gigoter, à bouger son bassin et à s’ouvrir encore plus. Je lui enfonçai les deux doigts dans le vagin, en leur faisant faire un mouvement rapide de va-et-vient ; il était totalement mouillé ; il dégoulinait même de ce liquide poisseux et chaud qu’il déversait copieusement sur ma main. Elle gémissait de plus belle, toujours sans rien dire. Elle me prit la main pour lui faire faire les gestes qu’elle voulait ; elle obligeait mes doigts à entrer le plus profondément possible dans son vagin et à entreprendre des allers-retours de plus en plus rapides entre l’entrée de la fente et le fond. Je sentais tous ses muscles se tendre à l’extrême ; elle allait jouir. Ce qu’elle fit dans un long râle profond et en déversant sur ma main un liquide abondant et chaud. Puis son corps se détendit petit à petit, pendant qu’elle reprenait sa respiration.
    
    Nous restâmes ainsi quelque temps allongés par terre sans rien dire ; puis je sentis ses mains aller vers mon pantalon, ouvrir la braguette et sortir mon sexe qui avait atteint une taille énorme, ...
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