1. Même pas de constat


    Datte: 27/07/2021, Catégories: fhh, inconnu, nympho, contrainte, Oral pénétratio, occasion, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... le dos contre la camionnette. Il n’ose plus bouger ou parler, mais ne tente pas de fuir.
    
    Marcel est tout surpris de sentir la bouche de Sandrine lui lécher le bout de la queue. Elle ne lui massacre pas les couilles mais lui lèche popaul tout gentiment. Je lâche son bras et retire mon pied. Il tente de bouger mais Sandrine lui fait comprendre qu’il doit rester allongé en lui poussant les mains au sol. Elle est assise sur les jambes de Marcel, occupée à réveiller sa gaule. Il a compris et se laisse faire. Je m’approche du blond et prend place à son côté pour regarder Sandrine violer ce pauvre naze.
    
    Il bande enfin. Sandrine baisse encore un peu le pantalon qui la gêne, puis prend place sur lui, telle Andromaque. Elle s’empale sur son chibre en se caressant les seins. Tel est pris qui croyait prendre. Plutôt que de se faire violer, elle a pris la main sur son destin et a décidé d’en profiter. Peu importe que ce mec soit un con fini, un macho, un lâche, elle profite de sa queue.
    
    Le blond s’astique à côté de moi. Oubliée la peur, il bande à nouveau. Sandrine s’active comme une déesse, menant Marcel au bord de l’apoplexie. Elle ne s’occupe que de son propre plaisir.
    
    Je la vois soudain se lever et venir vers nous. Elle préfère visiblement les outils du blond. Elle le prend par les cheveux et lui colle sa langue dans la bouche. Elle le tire vers le sol pour qu’il s’allonge sur le dos, et vient le chevaucher. Sa ...
    ... queue est sans doute meilleure que celle de Marcel qui se retrouve comme un con. J’en rigole. Le blond n’est pas passif. Il a saisi ma chérie par les fesses pour la faire bouger plus haut et la faire descendre plus fort. Il ne l’insulte plus, il la baise comme une honnête femme. Elle s’en prend plein la chatte. J’en ai du plaisir pour elle. Le bougre lui explore la raie des fesses de ses doigts et lui en plante un dans le cul. Elle exulte et se cambre encore d’avantage. Elle aime ça et le fait avoir. Marcel y voit une opportunité de ne pas repartir les couilles pleine et les rejoint. Ses doigts remplacent ceux du blond et viennent fouiller le petit cul ouvert. On entend un « Vas-y Marcel » qui me fait éclater de rire, avant que ce dernier ne lui éclate le cul. Sandrine est comblée, bourrée comme une salope, honorée comme elle le mérite. Les voyous se déchaînent mais elle en veut encore, elle ne veut plus. Elle leur crie sa jouissance quand la vague arrive, et les laisse se vider les couilles à leur rythme, en décompressant.
    
    J’attrape Marcel par le col pour le relever. Sandrine se dégage. J’ordonne aux mecs de foutre le camp. Ils ne demandent pas leur reste et montent dans leur camionnette pendant que Sandrine se rajuste. Je choppe Marcel par le col pour lui réclamer les 100 € qu’il m’avait promis. Il me les tend sans résister. Je claque la portière.
    
    Sandrine et moi nous regardons avec un sourire. Quelle soirée ! 
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