1. Même pas de constat


    Datte: 27/07/2021, Catégories: fhh, inconnu, nympho, contrainte, Oral pénétratio, occasion, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... l’habitacle. Sandrine aurait le temps de partir en courant mais ne bouge pas. Le mec ressort mon portefeuille à la main, et sort un à un tous les papiers qu’il y trouve. Il sort enfin trois billets de 50 euros, tout ce qu’il me reste.
    
    — Tu te fous de nous connard ? 150 euros, ça paie pas les réparations.
    — Désolé, je pensais qu’il me restait plus que ça, je peux vous faire un chèque.
    — Ha ha ha ha un chèque. Pauvre con !
    — Ou suivez-nous jusqu’à un distributeur.
    — Hors de question, tu vas te barrer.
    — Je vous promets que non.
    
    Il a repris Sandrine par les cheveux et je me dis que je n’ai plus le choix. Il faut que je les neutralise, ça devient trop dangereux. Le blond force soudain Sandrine à se pencher vers sa braguette, hurlant qu’il va se payer en nature. Je commence à me débattre mais le bougre qui me tient est un peu plus costaud que prévu. Il me serre aussi le cou, limitant mes possibilités de mouvement.
    
    Je n’ai pas eu le temps de réaliser, que déjà le blond a lâché les cheveux de Sandrine pour baisser son froc et sortir son sexe. Sandrine se recule un instant puis revient vers lui, s’agenouille devant lui et saisit son sexe à pleine main. Elle n’attend même pas qu’il ait terminé de baisser son pantalon et commence à le masturber. Je renonce à me débattre, voyant qu’elle se montre finalement docile et que sa peur semble avoir disparu. Je me dis que, peut-être, elle a pris le parti de le faire cracher rapidement pour avoir la paix et s’éviter d’être ...
    ... frappée, mais je dois me rendre à l’évidence, elle y met trop d’ardeur pour que ce soit la seule explication. Elle masturbe le sexe du blond en lui suçant le gland, mais en plus elle s’est passé une main entre les cuisses pour se caresser. Ça ne fait aucun doute qu’elle a décidé de faire contre mauvaise fortune bon cœur et que si cette situation qui l’avait effrayée, elle l’excitait maintenant, au point d’oublier qu’elle avait en face d’elle un violeur.
    
    Le mec lui-même semble surpris d’être arrivé aussi facilement à ses fins. Il bourre la bouche de Sandrine violemment, cherchant à lui coller son gland dans le fond de la gorge. Elle ne résiste pas. Il m’insulte, me traitant de tapette, de petite-bite, de lâche. Je ne sais pas depuis combien de temps elle l’astique, mais ça semble à la fois très long et très court. C’est brutal, violent. Il la tire par les cheveux pour la forcer à se relever, la tourne et la pousse dans ma direction. Elle me fixe, d’un regard qui dit qu’elle n’a pas peur, qu’elle assume le risque. Il la suit, l’attrape par l’épaule, la colle contre lui. Il la force à tourner la tête et sort sa langue. Il veut voir la sienne. Elle s’exécute et lui offre ce qu’il attendait. Il lui malaxe les seins en lui roulant une pelle bouches ouvertes, langues sorties, bave coulante. Il descend une main entre les cuisses de ma douce et la lui plaque contre la chatte. Sa robe fine est une bien maigre barrière. Il lui maltraite l’entrejambe. Elle écarte un peu les cuisses pour lui ...
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