1. Même pas de constat


    Datte: 27/07/2021, Catégories: fhh, inconnu, nympho, contrainte, Oral pénétratio, occasion, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... Je le tire par le col pour le retourner. Il pose ses fesses docilement, les genoux pliés, ferme sa gueule et ne bouge plus.
    
    La voiture passe à faible allure. La camionnette et ma BM sont immobilisées devant nous. Le blond saute et se dirige vers Sandrine qui a ouvert la portière de la voiture. Elle se colle le dos contre la portière passager et lui fait face. Il s’approche d’elle et vient se coller. Il lui roule une pelle. Sandrine le saisit pas les fesses, puis repasse ses mains entre eux pour lui baisser le pantalon.
    
    Ils ne se soucient pas de savoir où le conducteur se trouve, ni même si je suis encore immobilisé. Elle passe ses bras autour du cou du Polonais pour se soulever du sol, et lui passe les jambes autour du bassin. Il la baise debout, toujours aussi brutal.
    
    — Ahhh… salope, tu aimes la queue.
    — Ouiiiii…
    — T’en veux encore c’est ça ?
    — Oui salaud, baise-moi à fond.
    — J’vais m’gêner connasse.
    — Ouuiiii…
    — Oh putain, je vais cracher.
    — Ouiiii, vas-y, lâche-toi.
    — Ahhhhhh…
    — Je jouiiiiiiiis…
    
    Le connard a réussi à la faire jouir en un temps record. Ou alors elle simulait pour qu’on en finisse. En tout cas, si elle a fait semblant, elle est bonne comédienne. Elle tremble de partout et continue de bouger son cul.
    
    — Marcel, t’es où ?
    
    Le pauvre Marcel, il n’ose même pas répondre. Il reste figé dans l’herbe. Je me lève le premier. Le blond me voit et prend peur, mais voyant que je ne montre aucune agressivité, il se relâche.
    
    Son pote me suit. Il ...
    ... tente de m’attraper un bras pour m’immobiliser à nouveau mais cette fois, je réagis. Il se retrouve à plat-ventre sur le bitume, le visage collé au sol par ma semelle, et un bras tordu que je tiens d’une main.
    
    Le Polonais a reculé de deux pas, pensant que ça allait être son tour.
    
    — Excusez-nous monsieur, nous avons un peu bu.
    — Je sais oui. Et tu as surtout baisé ma femme, gros con.
    — Désolé monsieur, on va partir, vous entendrez plus parler de nous.
    — Trop facile. Je vais vous broyer tous les deux.
    — S’il vous plaît, on ne vous a pas fait de mal
    — Ah bon ?
    — Allez, soyez sympa, laissez-nous partir.
    — Hors de question.
    — Je vous rends votre argent et je peux vous donner ce qu’on a aussi.
    — Ah oui ? Vous avez combien ?
    — Je sais pas, peut-être 100 €
    — Ha ha ha…
    — Allez…
    
    Sandrine s’est approchée de moi et me tend ses lèvres. Nous nous embrassons sous le regard médusé du Polonais et les râles rauques de Marcel qui souffre de la torsion que je lui inflige.
    
    Ma femme me demande de le lâcher. Je relâche. Pas complètement. Mais il n’a plus mal. Elle se penche sur lui et dirige une main sous son bassin. Elle le tâte.
    
    — Retourne-le.
    
    Il n’a pas eu le temps de comprendre qu’il est déjà sur le dos, mon pied sur la glotte, le bras à nouveau tordu. Sandrine ôte sa ceinture et lui baisse son froc. Il est mort de trouille. Il doit penser qu’elle va lui massacrer les couilles et tente de se débattre. Je le serre un peu plus pour l’en dissuader.
    
    Le Polonais est ...
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