1. Même pas de constat


    Datte: 27/07/2021, Catégories: fhh, inconnu, nympho, contrainte, Oral pénétratio, occasion, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... faciliter la tâche. Je n’ai plus le moindre doute. S’il essaie de la baiser, elle va se laisser faire et peut-être même le souhaite-t-elle.
    
    Le blond me regarde dans les yeux, une main dans le décolleté, une autre entre les cuisses ouvertes. Il me toise, il me nargue.
    
    — Je vais baiser ta pute, connard.
    — Laissez-la partir.
    — T’as pas compris, petit con, je vais la défoncer sous tes yeux et elle va aimer ça.
    
    Sandrine a fermé les yeux. Elle a passé ses mains dans son dos. Elle doit lui toucher le sexe. Elle ondule des fesses et se frotte ostensiblement contre lui. Elle veut lui donner raison, ou simplement le calmer. Elle sait que cette fois la distance entre les deux voyous est faible, et que je peux intervenir rapidement. Je ne me débats plus et mon « bloqueur » a relâché son emprise sans s’en rendre compte. Il me faudrait juste quelques instants pour les exploser tous les deux.
    
    Sandrine s’écarte du blond et vient contre la voiture. Elle est à quelques centimètres. Je la vois relever sa robe, et écarter sa culotte.
    
    — Puisque c’est ça que tu veux, finissons-en. Viens me baiser, pauvre débile.
    
    Le blond rigole, il va se taper la bourgeoise. Je le vois prendre sa queue dans une main et se diriger vers sa cible. Je l’avais vu de loin et je n’avais pas percuté, mais il est monté comme un âne. Nous ne sommes éclairés que par la pleine lune. La camionnette éclaire la route dans un sens, ma voiture dans l’autre, mais là, sur le côté, nous sommes dans l’ombre. La ...
    ... scène est surréaliste. Le blond voulait la violer mais elle s’offre à lui, son petit cul blanc en l’air. Il s’avance vers elle, se baisse un peu et remonte pour l’embrocher. Elle pousse un soupir de satisfaction en le sentant la pénétrer. Il ne fait pas semblant. Il la bourre violemment, la soulevant à chaque coup de boutoir. Elle ne peut même plus poser ses talons. Elle souffle, râle, et je crois bien qu’elle jouit.
    
    Le mec qui me tient ne rate rien du spectacle, et encourage son pote. Je le sens avancer son bassin à chaque fois que le blond tape dans le fond de la chatte de ma femme. Il accompagne le mouvement comme quelqu’un qui freine à côté de vous au volant. Je sens qu’il bande lui aussi comme un âne. Et je dois dire que tout ça m’a passablement excité moi aussi.
    
    Des phares nous éclairent. Une voiture arrive. Nos violeurs se figent le temps de comprendre. Le blond ordonne à ma femme de bouger ma voiture sur le côté pendant qu’il déplace la camionnette. Mon geôlier me fait reculer dans l’herbe. Je profite du mouvement des voitures pour faire basculer le conducteur sur le dos. Je l’immobilise. Il a le visage dans la terre, mon genou dans son cou, les deux bras vrillés dans le dos. Il tente de hurler sa douleur mais je le tiens. Je me penche vers son oreille.
    
    — Maintenant, tu fermes ta gueule.
    — Rrrr…
    — Je vais te lâcher mais tu la fermes. Tu pourras t’asseoir mais je t’interdis de te lever ou de bouger compris ?
    — Ahhhh…
    
    Il a bien compris que je ne rigole pas. ...
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