1. Je m'appelle Amélie


    Datte: 20/05/2018, Catégories: ff, fhhh, jeunes, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, intermast, Oral yeuxbandés, Humour amour, Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    ... nous mit d’excellente humeur. Arrivés à l’endroit choisi, Émeline et moi nous troussâmes notre robe, nous installâmes sur la balancelle et fîmes asseoir nos invités en face de nous. Très innocemment, les yeux mi-clos, nous nous balancions de manière à ce que notre vêtement se soulevât à chaque mouvement et qu’il découvrît nos jambes jusqu’à la fourche. Nous donnions ainsi le spectacle de nos deux ventres nus et de la toison qui en couvrait le dessous.
    
    Ah ! il fallait voir le regard fripon de ces jeunes gens. Leurs yeux tournaient comme des boules de billard et jetaient des étincelles de désir. Émeline posa sa main sur ma cuisse découverte et remontant jusqu’au sommet se mit à flatter mon pubis sous le regard effaré des garçons qui rougirent jusqu’à la racine de leurs cheveux. Sans en avoir l’air, nous venions de poser les jalons d’une soirée pleine de sensations nouvelles. Fatiguées de notre petit jeu de séduction, nous emmenâmes nos soupirants prendre une collation dans la roseraie. Nous y retrouvâmes tous les autres qui entouraient mes parents, ma mère étant particulièrement intéressée par un jeune moustachu qui la tenait par la taille.
    
    Mon père, à cent lieues de là, expliquait l’évolution du Guatemala à une jeune dame plus intéressée par les yeux pers de mon paternel et par la bosse qui gonflait son pantalon que par la théorie politique qu’il lui débitait avec force détails. Quant à moi, un peu lasse après les caresses d’Émeline, je m’installai au piano du salon ...
    ... pour me reposer avec Mozart. Je revoyais en pensée le membre rubicond du garçon que j’avais secoué et me surpris à rêver de me faire enfiler par lui. Sa taille m’impressionnait et je me demandais si mon pertuis serait assez large et assez long pour l’enfouir tout entier. L’année suivante, je l’épousai.
    
    Ce fut une très belle fête. Amaury, heureux d’avoir été choisi parmi une pléiade de prétendants auxquels, en compagnie d’Émeline, j’avais fait passer le test que vous savez, ne connut jamais la raison exacte de mon choix. Peut-être en eut-il été flatté davantage. Je lui laissai croire que ses yeux m’avaient séduite autant que son compte en banque. Il provenait d’une famille d’industriels qui vendait des tissus de soie à travers le monde.
    
    J’avoue qu’il avait pour moi plus que de la vénération. Il me passait mes caprices les plus fous. Il accepta de m’offrir une parure de nuit en soie blanche de Chine, si fine que la couleur de mes mamelons bruns et de ma toison paraissait à travers le tissu. Chaque fois que j’avais envie de son outil, ce qui, au début de notre hymen, arrivait très souvent, je fermais soigneusement les portes, me cachais derrière les tentures du salon et apparaissais brusquement devant lui vêtue de ce vêtement que ma chaste et prude grand-mère eût certainement désapprouvé. Je me lançais alors dans une danse on ne peut plus lascive, voilant et dévoilant tour à tour mes cuisses, mon ventre, mes seins dont je saisissais les pointes pour les faire durcir, ma fente ...