1. Je m'appelle Amélie


    Datte: 20/05/2018, Catégories: ff, fhhh, jeunes, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, intermast, Oral yeuxbandés, Humour amour, Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    ... rougirent et pudiquement baissèrent les yeux. Peut-être avaient-ils honte d’avoir subi de ma part des outrages auxquels ils ne s’attendaient pas. D’habitude ce sont les femmes qui doivent supporter les allusions coquines et les velléités de séduction des mâles. Je ne voulus point me résoudre à faire seule la conversation.
    
    — Ne crois-tu pas que nous devrions les abandonner, dis-je à mon amie. Puisqu’ils sont devenus muets, je crois qu’il n’y a plus rien à tirer de ces gens sans cervelle qui craignent les faibles femmes.
    — Je pense que tu as raison, d’ailleurs, il y a beaucoup de jeunes garçons qui ne demanderont pas mieux que de nous faire la conversation.
    
    Je tentai une dernière fois d’attirer leur attention. Je vous ai dit que j’étais nue sous ma robe. Prétextant un lacet à resserrer à ma chaussure, je m’accroupis, troussant ma robe jusqu’aux genoux de façon à ce que les regards puissent se fixer sur ma fourche. Ne voulant pas être en reste, Émeline fit comme moi. Elle non plus n’avait pas remis sa culotte après nos ébats dans le parc. Imaginez donc deux jeunes pucelles offrant aux regards de galants peu audacieux la vue de leur foufounette encore humide du plaisir qu’elle avait connu un peu plus tôt. Ces messieurs restèrent cois, aussi immobiles que des cruches. C’était à désespérer de la nature masculine. Pourtant en levant les yeux, j’avais remarqué que, sans crier gare, des bosses apparaissaient dans les hauts de chausse des garçons. Je regardai mon amie et, à la ...
    ... façon dont elle piquait son regard, je vis qu’elle avait compris. Levant les yeux, je constatai que les garçons ne cessaient de rougir. Nous nous relevâmes et lissèrent nos bas de robe. Nous fîmes mine de partir.
    
    — Non ! Restez ! S’il vous plaît. Ne partez pas maintenant, demoiselles, ne nous laissez pas.
    — Tiens, tiens ! Vous avez retrouvé votre langue ? Nous resterons si vous nous expliquez ce dont vous discutiez si passionnément. À moins que vous jugiez que vos propos ne conviennent pas à nos chastes oreilles.
    
    Celui qui nous avait adressé la parole nous regarda de ses yeux brillants et se mit à rougir légèrement.
    
    — C’est-à-dire que vous n’êtes pas concernées, du moins je le pense, mais certains d’entre nous viennent de vivre une expérience assez peu courante dans notre milieu.
    — Expliquez-nous cela, dit Émeline, d’un faux air intéressé. Je suis curieuse de connaître cela.
    — Bien voilà, reprit l’autre.
    
    Et il se mit à raconter ce qui lui était arrivé. Avec force détails, il expliqua qu’une jeune fille inconnue les avait emmenés, ses amis et lui, dans un taillis. Là, les yeux bandés et condamnés au mutisme absolu, ils avaient dû montrer leur engin et qu’une bouche et des mains expertes les avaient branlés jusqu’à ce que leur braquemart se vidât de sa liqueur. Il ajouta qu’il soupçonnait bien la fille de la maison mais qu’il n’avait pu l’entrevoir parce qu’il avait les yeux bandés et qu’il n’avait pas pu se mouvoir avec ses mains liées derrière le dos. De plus la ...
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