Je m'appelle Amélie
Datte: 20/05/2018,
Catégories:
ff,
fhhh,
jeunes,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
intermast,
Oral
yeuxbandés,
Humour
amour,
Auteur: Naipas, Source: Revebebe
... « suceuse » n’avait pas prononcé une parole.
— Oh ! fit Émeline, très hypocrite. Et vous vous êtes laissé faire, comme cela sans crier au viol ? Nous aurions pu vous venir en aide, comme cela se fait entre gens de bonnes familles. En attendant vous nous laissez sur notre faim. Qui a bien pu vous infliger un tel outrage ?
— Nous n’en savons rien, répondit l’un d’eux, qui n’avait manifestement pas encore compris la rouerie d’Émeline qui prêchait le faux pour connaître le vrai. Mais en tout cas, c’est bien la première fois qu’une main de femme me donne tant de satisfaction. Je n’en suis pas encore remis. J’aimerais bien connaître celle qui m’a fait cela.
— Moi aussi, dit le deuxième « branlé ». Cette femme est une experte en matière de travail manuel.
— J’en suis heureuse pour vous, dis-je tout aussi hypocritement.
— Et moi, dit le troisième, j’en ai eu plus que vous deux. Elle m’a sucé le vit et a tout avalé. Je sens encore ses lèvres se serrer sur mon engin. Elle tirait tellement dessus que je sens encore la trace de son massage. Je l’aurais bien invitée à continuer jusqu’à demain.
— Mon ami, il ne faut jamais trop demander à une femme, lui conseillai-je. Elles sont tellement versatiles. Si elle vous a poussé jusqu’à cette extrémité, c’est qu’elle vous a apprécié mais soyez prudent. Peut-être ne devriez-vous ne pas tenter de la retrouver.
Émeline faisait des efforts pour ne pas éclater de rire. Elle me serrait le bras à m’en faire mal, tandis que j’aurais voulu en ...
... savoir plus et questionner les jeunes gens sur leurs sensations après le jeu auquel ils avaient innocemment participé. Je regardai donc les autres qui n’avaient rien dit. Ils étaient sans doute impatients d’entendre des choses intéressantes et en même temps indécis quant à leur attitude. Devaient-ils rire avec moi ou nous poser des questions indiscrètes ? Je les soupçonnai d’être jaloux de leurs compagnons de fête et d’avoir envie de connaître le même sort.
— Eh bien, messieurs, dis-je enfin. Si nous allions nous promener et deviser ensemble. Peut-être seriez-vous d’accord pour faire un petit tour jusqu’à la tonnelle au fond du parc. Si je ne m’abuse, nous serions plus à l’aise pour bavarder et nous confier nos petits secrets.
J’en pris deux par le bras tandis qu’Émeline en faisait autant avec deux autres. Je m’étais arrangée pour me trouver le plus près possible de celui dont j’avais goûté la liqueur. Émeline s’empara du bras d’un des deux « branlés » et je me collai contre l’autre. Non contente de leurs bras, je les pris par la taille et pris soin de les serrer contre moi pour qu’ils puissent deviner la fermeté de mes seins à travers ma robe légère. Je regardai Émeline de biais et constatai avec satisfaction qu’elle avait pris la même pose.
Quelle agréable promenade, loin des cancans et ragots des femmes souvent frustrées dans leurs désirs. Le trajet me parut court tant les réflexions des garçons nous donnaient de joie. Nous nous surprîmes à éclater de rire, ce qui ...