1. Je m'appelle Amélie


    Datte: 20/05/2018, Catégories: ff, fhhh, jeunes, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, intermast, Oral yeuxbandés, Humour amour, Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    ... fournie. C’est tout naturel chez moi et tant pis pour les mémères hargneuses qui n’ont jamais connu de leur vie le coup de fusil qui fait grimper au mur. C’est vrai que dans mon milieu très collet-monté, une fille comme moi détonne un peu trop pour garder intact l’honneur de la famille. Peu me chaut, comme disait mon aïeul le colonel de cavalerie Adelbert de la Trique-mouille, un chaud lapin s’il en fut et qui honora plus d’une pucelle pour le plus grand bien de la région. Nombreux d’ailleurs sont les petits rejetons semés par cet ancien militaire aussi prompt aux combats de lit qu’à ceux des tranchées. Vous allez vous rendre compte que je n’ai rien à lui envier, même si ma mère qui l’a toujours renié en public, en rêvait souvent et regrettait sans doute de ne pas lui ressembler. C’est peut-être pour cela que je reste en secret sa préférée et qu’elle me pardonne mes fredaines.
    
    Trêve de plaisanterie, passons à des choses sérieuses. Excusez-moi, je ne me suis pas présentée. Je m’appelle Amélie de la Baysière de la Founette. Mon père est un haut fonctionnaire au Ministère des Affaires étrangères, ce qui l’oblige à de fréquents voyages à l’étranger. Ce qu’il y fait ne m’intéresse pas mais, comme je le connais, il n’est pas l’homme à cracher sur une chatte. Un de la Baysière de la Founette met son point d’honneur à honorer d’abord sa femme, rien que sa femme, et puis après… on verra bien. Je ne puis en dire autant de ma génitrice, née de la Frimouille, que j’ai surprise ...
    ... plusieurs fois à gémir de plaisir en se faisant enfiler la moule par notre voisin Agénor le Gros de la Trique, particulièrement bien armé du côté de sa virilité.
    
    — Comment le trouves-tu, mon Agénor ? me demanda-t-elle sans pudeur un jour quand elle se rendit compte que je savais qu’elle s’étendait pour jouer avec lui à la bête à deux dos.
    — Pas mal, mais je préfère encore son cousin Gaëtan qui, je le sais pour l’avoir mesurée avec une aune, dispose d’un outil de huit pouces un quart de long et de deux pouces et demi d’épaisseur. Je t’assure, ma mère, que quand Gaëtan m’enfile, je sens son merveilleux engin frapper aux portes du mon fond de ventre.
    — Allons, n’exagère pas. Tu te prends toujours pour plus forte que les autres.
    — Mais je t’assure, maman. Essaie-le, tu verras bien si je t’ai menti.
    — Je préfère pas, tu sais bien que mon sadinet est trop court pour accueillir une telle machine; avec ce que j’ai déjà de la peine à contenir Agénor qui ne fait que six pouces tout juste.
    — En effet. Cela te change de papa ?
    — Ne m’en parle pas. Papa est très gentil mais il préfère son ministre à sa femme. Ne va surtout pas t’imaginer que je le trompe. Non. Je compense.
    
    Comme vous le constatez, mes conversations avec ma mère ont parfois des parfums de foutre et de chattes. D’ailleurs, c’est elle en partie qui m’a éduquée, surtout quand je lui ai narré avec force détails ce que j’avais bien innocemment découvert un après-midi dans la petite maisonnette qui servait autrefois de ...
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