1. Je m'appelle Amélie


    Datte: 20/05/2018, Catégories: ff, fhhh, jeunes, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, intermast, Oral yeuxbandés, Humour amour, Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    ... indiscrets, elle entreprit de me caresser les seins. Elle dénoua le cordon qui retenait les revers du col de ma robe et lentement, elle saisit mes pointes entre ses doigts habiles. L’effet fut immédiat. Je sentis une chaleur envahir mon sadinet qui commença à suinter de ma liqueur. Je lui pris la tête entre les mains et posai sa bouche sur mes mamelons durcis. Elle me téta si bien que la chaleur s’empara brutalement de tout mon corps. Émeline le sentit et fourragea sous ma robe pour y découvrir ma rose déjà éclose et couverte de rosée. Ses doigts jouèrent avec mon petit bouton gonflé et je me mis à trembler sous la caresse de plus en plus appuyée.
    
    Je m’étendis sur la mousse qui formait une sorte de coussin et je laissai mon amie goûter à ma liqueur intime qui s’écoulait lentement de ma fente qu’elle écartait de ses doigts. Je ne restai pas passive et je glissai ma main sous son jupon pour y découvrir aussi ses trésors intimes. J’imitai les gestes d’Émeline qui écarta largement ses cuisses pour que je pusse poser mes lèvres sur sa fleur parfaitement éclose et, elle aussi, laissant couler son miel que je bus avec avidité. Nos soupirs devinrent rapidement des râles d’amour et sans prévenir, le plaisir déferla sur nous comme la tempête. Haletantes, nous restâmes un moment enlacées, les lèvres posées sur nos fentes qui continuaient de couler.
    
    Mais il fallait bien regagner la fête et repérer les effets que mes manœuvres avaient eus sur les visages des garçons qui avaient ...
    ... eu la chance – je me vante un peu – de goûter à mes baisers appuyés. Bras dessus, bras dessous, nous revînmes sur la terrasse où les invités, de plus en plus gais, devisaient avec force gestes. Je remarquai immédiatement un petit groupe de jeunes gens, excités et lancés dans une conversation, ma foi fort enflammée. Trois d’entre eux avaient profité de mes bontés. Émeline me cogna le coude et me fit une réflexion salace.
    
    — Je crois, répondis-je, qu’ils sont en train d’expliquer ce qui leur est arrivé. Approchons-nous.
    — Tu crois ? N’est-ce pas imprudent ?
    
    Je partis d’un grand éclat de rire qui arrêta tout net les conversations et attira les regards mi-enjoués, mi-gênés des jeunes garçons.
    
    — Viens, j’ai hâte d’entendre leur réaction.
    
    Nous nous approchâmes, toujours en nous tenant par la taille. Mais je fus un peu déçue de l’attitude de ces messieurs pourtant si prêts à se vanter de leurs exploits.
    
    — Vous m’aviez l’air bien calmes. Est-ce notre arrivée qui vous rend si muets. Que disiez-vous de si intéressant ? Ne soyez pas si cachottiers. Nous finirions par penser que vous disiez du mal de nous ou que vos propos ne sont pas faits pour des oreilles chastes comme les nôtres.
    
    Je ponctuai ma remarque d’un grand sourire, comme s’il ne s’était rien passé entre eux et moi. Émeline se tourna pour éviter de les regarder, car elle aussi n’attendait que le moment où ils allaient dévoiler leur secret. Je l’entendis pouffer mais bientôt elle redevint sereine. Les garçons ...
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