1. Je m'appelle Amélie


    Datte: 20/05/2018, Catégories: ff, fhhh, jeunes, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, intermast, Oral yeuxbandés, Humour amour, Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    ... donner à chacun. Je les fis se rapprocher jusqu’à ce que je pusse en tenir deux en main et plonger le troisième profondément dans ma bouche. Je massai lentement les deux premiers en prenant bien soin de découvrir le plus possible le gland déjà tuméfié tandis que je donnais au dernier de longues poussées de manière à faire entrer tout le manche dans ma bouche. Je sentais leur engin vibrer sous mes doigts et sur mes lèvres et je perçus le moment où je devrais m’arrêter pour éviter d’être aspergée de leur liqueur. Je les abandonnai donc avant les cataractes. Émeline regardait en souriant, les yeux brillants. Je vis sa main se poser sur sa fourche et, à travers le tissu léger de sa robe, se mettre à caresser sa fente que j’imaginai déjà humide de sa liqueur.
    
    Profitant de mon avantage, je mesurai encore chacun d’eux et fus étonnée de constater qu’ils avaient tous trois la même longueur soit près de sept pouces, ce qui me parut énorme pour des jeunes de cet âge. Était-ce de la naïveté ou de la méconnaissance de la nature de l’homme ? L’expérience m’a prouvé que cette longueur n’était pas exceptionnelle. J’en rencontrai un de passé neuf pouces. Une vraie merveille de la nature. Je repris mes attouchements et mes baisers sur leur membre dressé jusqu’au moment où, ne pouvant plus résister, l’un me lança sa liqueur sur les mains. Il fut bientôt suivi d’un deuxième. Aussitôt, leur mandrin se racornit pour reprendre sa forme primitive. Quant au troisième, je fus ravie de sa ...
    ... résistance et de sa constance. Je lui offris alors mes mains et mes lèvres. Je l’enfournai le plus loin que je pouvais, risquant de m’étouffer. Soudain, ce fut un feu d’artifice : il projeta dans ma bouche tout son liquide onctueux que j’avalai avec délices tandis que mes doigts achevaient de lui presser et le manche et les olives pour en extraire toute la substance.
    
    Pendant ce temps, Émeline, très intéressée, avait troussé sa robe jusqu’au nombril et, devant moi donnait aux trois aveugles une belle leçon de plaisir personnel. Ses doigts ouvraient sa fente tandis que l’autre main frottait son bouton. Elle se fit ainsi jouir en prenant soin de bien se faire entendre. Puis, l’opération terminée, je m’esquivai sans bruit, prenant mon amie par la taille et lui donnant un baiser sur la bouche.
    
    — Tu sens le foutre.
    — Veux-tu le goûter ? Il m’en reste une goutte sur le coin des lèvres.
    — Oh ! dit-elle en m’essuyant la bouche avec la sienne, comme il est parfumé. Au fait, as-tu fait ton choix ? ajouta-t-elle d’un ton canaille.
    — À ton avis ?
    — Je crois que le dernier te comblera. Il est beau garçon, bien bâti, bien membré et bien résistant. Quand j’ai vu son outil, j’ai eu tout de suite envie de lui. Je me l’essaierais bien.
    — Vas-y, ne te gêne surtout pas pour moi. Je sais que l’outil trouvera bien sa place dans ta minette.
    — Dans la tienne aussi, me répondit-elle dans un grand éclat de rire.
    
    Ce disant, elle m’entraîna vers un hallier touffu et, bien à l’abri des regards ...
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