1. Je m'appelle Amélie


    Datte: 20/05/2018, Catégories: ff, fhhh, jeunes, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, intermast, Oral yeuxbandés, Humour amour, Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    ... fis un signe à mon amie Émeline que j’avais bien sûr invitée. Elle comprit tout de suite et me confia à l’oreille :
    
    — Toi, tu as une idée derrière la tête.
    — Bien sûr ! Tu vas voir et tu me diras si j’ai bien suivi tes conseils.
    
    Je lançai alors quelques œillades et m’esquivai pendant que mon amie entraînait ainsi six jeunes gaillards bien choisis en fonction de l’apparence bosselée de leur haut-de-chausses. Elle les réunit dans un endroit secret au fond du parc, tout près de la maisonnette du concierge. Je savais l’endroit propice aux ébats de toutes sortes. Il y avait une tonnelle presque entièrement cachée par une haute haie très épaisse. Un banc de bois et une sorte de balancelle à deux places en formaient le mobilier, suffisant pour y faire des galipettes. Je m’installai sur la balancelle et Émeline disposa en rond les garçons qu’avant de les amener, elle avait obligés de se bander les yeux le mieux possible, de se lier les mains derrière le dos en leur interdisant de réagir de quelque manière que ce fût. Je veillai moi-même par gestes à la bonne marche de l’opération car je voulais être certaine qu’aucun ne trichât, ne se détachât et regardât par le dessous.
    
    J’invitai du geste Émeline à s’installer à mes côtés et lui demandai de rester coite. Nous gardâmes le silence pendant un long moment. Je ménageai aux jeunes mâles une surprise de taille. Lorsqu’ils furent ainsi tous bien aveuglés et bien attachés, je les disposai en rond en laissant entre eux au moins ...
    ... deux coudées de façon à ce qu’ils ne se touchassent point. Alors, m’arrêtant devant chacun, je défis lentement les boutons de leur pantalon et sortis leur outil encore trop flasque pour être d’une quelconque utilité.
    
    Je me reculai pour mieux estimer et me rapprochant des candidats, je me penchai pour saisir l’un après l’autre entre mes lèvres les manches ainsi exposés à mes regards intéressés. Je les engloutis en prenant soin de bien passer ma langue sur l’ouverture tandis que ma main, que je voulais experte, soupesait les olives pour en estimer la grosseur et la dureté. Vous ne doutez pas que l’effet fût immédiat, du moins chez deux ou trois. Les mandrins devinrent comme des barreaux de fer, s’allongeant d’au moins du double de la longueur initiale. Le réflexe fut plus lent chez les autres et même, à ma grande surprise, l’un n’eut aucune réaction. Je l’éliminaiillico, l’invitant par un geste sur le bras à regagner les festivités de la maison tout en lui interdisant de se retourner. Je tentai alors de donner plus de vigueur à ceux qui avaient un peu traîné. Peine perdue, ils ne purent répondre à mes souhaits et regagnèrent eux aussi la maison.
    
    Je m’occupai des trois plus courageux. D’abord, je repris mes mesures, soupesant des doigts et de la bouche la volonté qu’ils avaient de faire bonne figure. Je ne fus pas déçue car les trois rescapés se faisaient un point d’honneur à garder leur mandrin aussi droit et raide qu’une saillie. Je me mis à hésiter quant au traitement à ...
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