1. Je ne vous l'ai jamais dit ?


    Datte: 25/07/2021, Catégories: h, fh, frousses, rousseurs, Collègues / Travail fépilée, vacances, hotel, amour, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, confession, amourpass, Auteur: Chuttt, Source: Revebebe

    ... heureuse d’avoir pu me revoir. Puis, prenant ma tête entre ses mains, elle m’embrassa, sa langue avait toujours ce petit goût sucré que j’aimais tant, puis elle s’écarta, une larme coulait sur sa joue, elle me lança un terrible « Adieu » et partit sans se retourner.
    
    Je restai de longues minutes à pleurer sans bouger. Je l’avais dans la peau et elle serait à jamais inaccessible. Elle réussit le tour de force de faire voler en éclats en quelques secondes la carapace que je m’étais construite en tant d’années.
    
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    Arrivée depuis quelques mois déjà, Sabine, l’assistante de direction, avait toujours un bon mot pour moi. Toujours une petite phrase agréable. Elle n’oubliait jamais de me saluer. Elle semblait m’apprécier. Elle avait la quarantaine passée, un peu enrobée, une poitrine opulente et une chevelure rousse coupée court qui ne cessait de m’aguicher. Autant dire que ces petites attentions ne me laissaient guère indifférent. Je crus qu’elle avait le béguin pour moi.
    
    Je commençai à ne plus penser qu’à elle. Et certaines nuits, je mis beaucoup de temps à m’endormir, bercé par la mémoire de ces douces attentions, ma main caressant mon sexe, jusqu’au point de non-retour.
    
    Je l’imaginais me coinçant dans mon bureau, se jetant sur moi, m’empoignant le sexe à travers les vêtements, m’arrachant la chemise, s’acharnant sur mon pantalon et se jetant avidement sur ma bite érigée, suçant comme une déesse, passant sa main entre mes jambes et, de ses caresses, me ...
    ... faisant oublier qui j’étais et où nous étions… Et je reprenais mes esprits dans mon lit tout en essuyant ma semence avec un mouchoir. Pauvre de moi ! Me voilà arrivé à me masturber en pensant à une collègue de travail. Je tombais bien bas.
    
    Un jour où mon chef de service était absent, alors que nous venions de refaire la salle informatique, Sabine vint me saluer comme à l’accoutumée, s’attardant un moment. Au cours de la discussion, je lui parlai de ces nouveaux aménagements. Je lui proposai de les lui faire visiter en l’absence de mon responsable qui se chargeait habituellement de cette tâche.
    
    Je pris mon badge et nous entrâmes dans la salle informatique. La température était fraîche dans cette salle climatisée en permanence mais je bouillais. Sabine était divinement belle ce jour-là et son décolleté menaçait de me faire perdre tout contrôle.
    
    Nous nous arrêtâmes devant la nouvelle baie. J’expliquai d’une voix monocorde le fonctionnement de ce que nous regardions. J’ignore encore comment j’arrivais à déblatérer de telles références techniques alors que mon cerveau était en ébullition. Elle se tenait à ma gauche. Je la regardais intensément pendant qu’elle observait et acquiesçait à la moindre de mes paroles.
    
    Mon regard essaya de s’introduire dans l’espace béant entre les deux boutons de son décolleté pour tenter d’apercevoir ce que je rêvais de toucher.
    
    Pris d’une pulsion subite, je lui empoignai son sein droit, tout en la plaquant contre le mur. J’essayai de ...
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