Une grande professionnelle
Datte: 20/07/2021,
Catégories:
fh,
ff,
jeunes,
médical,
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fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
Masturbation
sm,
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Auteur: Emilie, Source: Revebebe
... m’emmener. Un rappel au règlement me sembla le bienvenu et j’interrompis Alizée dans son élan.
— Nous sommes bien d’accord, mademoiselle l’infirmière : vous ne pourrez pas vous opposer à subir ce que j’ai moi-même accepté de votre part ?
— Tout à fait, mademoiselle Émilie. Mais cela ne change rien au fait qu’un examen médical doit être complet.
— Vous savez également que la deuxième manche est prévue demain, ici même ?
— Absolument, c’est ce que nous avons convenu. Et je ne reviens jamais sur mes promesses. Puis je continuer maintenant ? Avez-vous gagné assez de temps, mademoiselle Émilie ?
— Je suis à vous, mademoiselle l’infirmière, répondis-je la voie mal assurée.
— Parfait, la bonne coopération des patientes est une chose très importante.
Lentement, elle pressa mes lèvres et les fit rouler l’une sur l’autre. Malgré tous mes efforts, je ne pus pas rester immobile et je refermai mes cuisses sur ses mains avec un petit gémissement. Elle avait obtenu ce qu’elle voulait. Elle me regarda en souriant.
— Mademoiselle Émilie, soyez un peu raisonnable, laissez-vous faire. Allez, écartez grand les cuisses et regardez bien dans la glace.
Elle entrouvrit ma fente. Je coulais comme jamais. Elle fit glisser ses doigts sur les bords pour recueillir mes secrétions puis les sentit longuement avant d’y poser la langue.
— Votre nectar intime est délicieux, mademoiselle Émilie. Je peux compter sur vous pour m’y laisser goûter régulièrement ?
— Oui mademoiselle ...
... l’infirmière, répondis-je, trop excitée pour réfléchir à ce que je disais.
Alizée posa sa main sur ma nuque et la laissa descendre, effleurant mon dos jusqu’au bas de mes reins.
— Bien, je saurai m’en souvenir. Lorsqu’on vous met en condition, vous êtes finalement très docile. Écartez vos fesses avec les mains, s’il vous plait.
J’obéis. Il fallait en finir. J’avais le ventre en feu et je n’allais plus pouvoir tenir très longtemps. Elle me tira doucement les cheveux, me forçant à mettre la tête en arrière. En bas, je sentis ses doigts s’insinuer vers un endroit que même Julien n’avait jamais franchi.
— La compagnie d’une jeune femme aussi belle et aussi soumise que vous est un privilège…
Son doigt se posa sur mon petit orifice. Il l’imbiba de cyprine, le caressa, le massa, l’amadoua. Je n’osais même plus respirer. Il eut suffi d’un rien pour que l’ultime rempart de ma virginité cède. Elle continua.
— … et vous imaginer nue à mes côtés, accédant à tous mes désirs, est, je vous l’avoue aujourd’hui, un délicieux fantasme.
Mon petit œillet commençait à se dilater. Je n’en pouvais plus. Pourtant, je ne protestai pas. Elle m’avait tellement excitée que j’étais prête à tout accepter. Dans quelques instants elle me pénétrerait, me fouillerait peut-être. Je ne savais pas si ce serait bon, si je gémirai de plaisir ou de douleur, mais je m’offrais à elle sans résister. Sous l’insistance de son doigt, je m’ouvris d’un coup. Je poussai un cri mais rien ne se produisit. Alizée ...