1. Une grande professionnelle


    Datte: 20/07/2021, Catégories: fh, ff, jeunes, médical, vacances, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Masturbation sm, confession, initff, Auteur: Emilie, Source: Revebebe

    ... vacances.
    
    L’affaire lui sembla sérieuse car elle souffrait, me dit-elle, des mêmes maux et savait de quoi il retournait. Elle me posa de nombreuses questions sur ce que j’endurais et il faut reconnaître que son interrogatoire fut aussi consciencieux que… poussé. Ce qui l’intéressait le plus était ma vie sous la couette et elle me questionna sans pudeur sur les modalités précises de mes rapports sexuels, sur mon ressenti dans les figures imposées et sur mes performances enfree style ou dans la catégorie acrobaties.
    
    — Ne soyez pas gênée, je suis une professionnelle, me dit-elle. Et j’ai besoin de savoir pour vous soigner. En levrette, vous avez mal ? Et quand c’est vous qui chevauchez monsieur, cela change quelque chose ?
    
    Comme je n’étais vraiment pas bavarde sur le sujet (non mais c’est vrai, elle avait beau être super-sympa, je n’allais quand même pas tout lui déballer à la petite choupinette ! D’abord ça ne la regardait pas, même ma gynéco ne m’avait jamais demandé ça !), elle se laissa aller à quelques confidences et m’expliqua tout en se lavant les mains, que chez elle, les douleurs étaient beaucoup plus intenses quand elle se faisait prendre par derrière, ce qu’elle n’aimait pas trop puisqu’elle était plus clitoridienne que vaginale. Et dire que certains osent encore prétendre que le corps médical n’est pas proche de ses patientes !
    
    — Allez, maintenant on va se peser. Déshabillez-vous s’il vous plait, me dit-elle avec un sourire à faire craquer la terre ...
    ... entière.
    
    J’avais beau connaître mon poids et ses quelques kilos de trop par cœur, elle insista pour que je me pèse devant elle.
    
    — Vous avez pu vous déshydrater à cause de la douleur. Et ne soyez pas gênée, ajouta-t-elle doucement, je vois des patients déshabillés à longueur de journée et n’y prête aucune attention.
    
    Ça, je n’en étais pas vraiment sûre, et je commençais même à me demander si je n’étais pas un peu son genre d’homme à cette jolie petite infirmière si entreprenante. Je n’eus d’autre choix que d’ôter mes chaussures, mon jean et mon tee-shirt avant de monter sur la balance, mais j’insistai pour garder mon slip et mon soutien-gorge. Elle sourit, se pencha pour regarder le cadran, puis se redressa et me dit avec un air malicieux :
    
    — Je vous remercie de m’avoir fait profiter de votre magnifique lingerie, mais il va quand même falloir me retirer cela… Mademoiselle Émilie.
    
    Et d’un doigt, elle me donna une petite pichenette sur le nez. Ce geste inattendu me fit rire. Ce fut une erreur. Elle dut prendre cette réaction pour une marque de complicité et s’approcha de mon oreille en murmurant :
    
    — Allez, mettez-vous… toute nue… maintenant, c’est pour votre bien.
    
    L’attraction irrésistible qu’exerçait mon décolleté sur son regard ne laissait guère de doute sur ses pensées et j’étais désormais convaincue que mon anatomie l’intéressait infiniment plus que mes problèmes d’ovaires. Elle avait dû se spécialiser dans la petite blonde aux yeux bleus et à la poitrine ...
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