1. Une grande professionnelle


    Datte: 20/07/2021, Catégories: fh, ff, jeunes, médical, vacances, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Masturbation sm, confession, initff, Auteur: Emilie, Source: Revebebe

    ... grossir. Bientôt ils seront tout boursouflés, prêts à être tétés. C’est la nature mademoiselle Émilie, il ne faut pas avoir honte !
    — Je crois qu’il faut arrêter, mademoiselle l’infirmière, ils sont maintenant aussi durs que tout à l’heure, lui dis-je en essayant de maîtriser ma respiration.
    — Non, non, non… pour être certaines du diagnostic, nous n’arrêterons qu’une fois le plus haut point de l’excitation mamelonnaire atteint. À ce moment, quelques gouttes de liquide apparaîtront peut-être tout au bout. Ce sera sûrement pour vous un moment de plaisir intense. Continuez à bien vous caresser. Allez-y, prenez votre temps, nous ne sommes pas pressées.
    
    Je ne voyais pas comment j’allais me sortir sans dégâts de ce mauvais pas. Dans quelques instants, je n’arriverai même plus à maîtriser les ondulations qui commençaient à naître en bas de mes reins. Alizée en rajouta une couche.
    
    — Écartez un peu les bras, s’il vous plait. Je vais placer mes mains sous vos aisselles afin de mieux analyser vos réactions.
    
    Je la laissai faire, trop concentrée sur moi-même pour argumenter.
    
    — Vous êtres toute moite, c’est un signe encourageant. Continuez, continuez… je vais maintenant examiner votre sudation.
    
    Et avant que j’eus le temps d’ouvrir la bouche pour protester, elle se mit à me masser lentement sous les bras. Les bouts de ses doigts débordaient sur mes seins qu’elle caressait discrètement… je ne pouvais plus tenir. Collée contre mon dos, elle prenait dans le ventre le ...
    ... roulement incontrôlable de mes hanches.
    
    — Très bien, mademoiselle Émilie, très bien ! Mais êtes-vous vraiment obligée de gigoter de la sorte ? On dirait que quelqu’un est en train de vous pénétrer !
    
    Je soufflais comme une vache. La fin était proche. Cette petite conne allait réussir à m’envoyer au septième ciel et à me faire jouir dans ses bras pendant que je me tripotais les nichons ! Elle se rapprocha de mon oreille pour porter l’estocade et me murmura lentement des horreurs.
    
    — Regardez-vous bien dans la glace, mademoiselle Émilie. Regardez ces gros tétons rouges tout gonflés de désir. Vous êtes totalement nue et vous vous caressez devant moi. Dans un instant vous allez…
    — Mademoiselle l’infirmière ! Mon cri l’interrompit. C’est fini ! c’est fini, regardez, regardez, je coule !
    
    Quelques gouttes de liquide perlaient au bout de mes tétons. C’était indéniable, elle ne pouvait rien dire. Alizée eut du mal à cacher sa déception mais c’est elle qui avait fixé la règle.
    
    — Mademoiselle Émilie, me dit-elle dépitée, vous êtes une fois de plus sauvéein extremis. Je ne suis toutefois pas certaine que vous aurez toujours autant de chance. Nous allons continuer l’examen. Replacez les mains derrière la tête.
    
    Elle se remit à l’œuvre et me papouilla le ventre, me tripota, me chatouilla pour faire ressortir les petites rondeurs que j’essayais désespérément de camoufler en me tenant bien droite.
    
    — Laissez-moi travailler, voyons ! Vous avez des petits bourrelets sur les hanches, ...
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