1. Où mon sort s'améliore...


    Datte: 19/07/2021, Catégories: fh, fffh, jeunes, Inceste / Tabou magasin, anniversai, intermast, Auteur: Benoberna, Source: Revebebe

    ... petite pression, mais revins rapidement à la partie avant.
    
    — Lave aussi l’intérieur !
    
    Je fis alors ce qui m’avait toujours été interdit, j’introduisis mon doigt dans son sexe, allant et venant, m’appliquant à ne rien oublier. Plus haut, je sentis une petite boule un peu plus dure que j’entrepris de frictionner, fermement mais avec douceur.
    
    — Oula ! oulala ! ouhaa !
    
    Evelyne, manifestement n’était pas insensible à mon traitement. Martine et Marie France, inquiètes de ces plaintes, vinrent aux nouvelles.
    
    — Que se passe-t-il ? demandèrent-elles.
    — Qu’est-ce qu’iiil me laaaaave bieeeen, répondit Evelyne, se cramponnant à ce qu’elle put, et explosant à un tel point que j’en fus décontenancé.
    
    Avais-je été trop loin ? Au bout de quelques secondes elle reprit ses esprits :
    
    — Ouah, cousin !!
    
    Ce soir-là, je sentis que quelque chose avait changé dans nos rapports. Le regard des trois filles sur moi avait, tout d’un coup, changé.
    
    Le même soir, Martine me demanda :
    
    — Dors-tu bien dans ton convertible ?
    
    Non, je ne dormais pas bien. Marie-France et Evelyne dormant dans un des grands lits, Martine était seule dans le sien, qui avait également deux places. Aussi me proposa-t-elle de dormir avec elle à condition que je sois sage. Je promettais toujours tout ce que l’on voulait et me voici donc au lit avec ma cousine. C’était une première, car nous n’avions plus dormi ensemble depuis l’âge de quatre ou cinq ans. Et c’est nu comme un ver que je me glissai dans ...
    ... le lit, rejoignant ma cousine aussi nue que moi. Extinction des feux ; dodo pour tout le monde.
    
    J’eus beaucoup de mal à trouver le sommeil, bougeant beaucoup je dérangeais ma cousine. Tous deux couchés sur le coté, mon ventre entra en contact avec son dos, mais elle ne bougea pas et nous nous retrouvâmes rapidement collés l’un à l’autre. Malgré tous les efforts que je fis pour penser à autre chose, ce qui devait arriver arriva. Une érection vint signaler à Martine que je ne dormais pas et que je n’en avais guère envie. J’avais été très excité par la toilette faite à Evelyne, aussi ma réaction fut-elle rapide. Elle ne s’en offusqua pas et glissa sa main dans son dos pour me saisir.
    
    — J’aimerais bien que tu me montres ce que tu as fait à Evelyne, tout à l’heure, murmura-t-elle, visiblement intéressée par les réactions de celle-ci.
    
    Je sentais bien que cette affaire allait nous amener à franchir une étape. Alors qu’elles n’avaient jamais accepté, ni l’une, ni l’autre, le moindre contact de ma main ou d’une autre partie du corps avec leur sexe, après Evelyne j’allais pouvoir caresser Martine ! Je la fis mettre sur le dos, talons contre les fesses et genoux écartés et j’entrepris, dans le noir, de visiter ma cousine et de lui présenter tous les hommages qu’elle accepterait. Mes deux mains et mes dix doigts s’activaient en des parties chaudes et rapidement humides, entrant ici, tentant d’entrer là, frottant ceci, écartant cela. Au bout de quelques minutes de ce petit jeu, ...
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