1. Souvenirs de jeunesse


    Datte: 18/07/2021, Catégories: hh, grp, uniforme, grossexe, Oral hdanus, hsodo, aliments, traduction, Auteur: Edouard Roubi gnolle, Source: Revebebe

    ... que ma solde de brigadier ne durait pas longtemps. Une ou deux visites à ma jolie petite Aïcha, au bousbir, un restaurant, deux ou trois fois au cinéma et les poches étaient vides.
    
    Mais, après lui avoir précisé que je ne tenais pas à me faire défoncer la pastille, je le laissais m’expliquer qu’il suffisait simplement de préciser que l’on était seulement actif. En fait, précisa-t-il, il y en a qui sont les deux.
    
    Moi, je ne voulais pas être les deux et je n’étais même pas sûr d’arriver à pratiquer cette activité. Pour mon goût personnel, depuis mon initiation par Asuncion, ma belle infirmière, j’aurais préféré les étreintes passionnées de la petite Aïcha dans sa petite chambre du Bousbir. Mais une nuit dans les bras d’Aïcha me bouffait d’un coup la moitié de ma solde, alors qu’au contraire me farcir Ben Choucroute où un de ses copains… et puis, un trou est un trou, pas vrai.
    
    Quelques jours après, au premier étage d’un immeuble du quartier Mers Sultan, je sonnais à la porte d’un petit studio. Curieusement alors que je me posais la question de savoir si j’arriverais à bander devant le trou du cul d’un homme, l’émotion que je ressentais en entendant quelqu’un s’approcher et qu’une voix demandait « c’est toi Robert ? » je m’aperçus que j’avais même pris de l’avance, car mon érection ne faisait aucun doute.
    
    La porte s’ouvrit sur l’ami David qui me fit vite entrer, car il était déjà complètement nu. Il m’attira contre lui pour m’embrasser… Gentiment sur les joues, car ...
    ... j’avais tourné la tête, en m’entraînant vers une petite chambre où il entreprit de me déshabiller ; poussant un petit cri d’admiration, il s’agenouilla pour embrasser et caresser mon outil de travail sur toute sa longueur avant de la prendre en bouche.
    
    Me faire sucer je connaissais, Aïcha était une experte. Mais pas autant que David que je dus prévenir que j’étais prêt à partir. Mais alors, au lieu de me libérer il s’interrompit juste le temps de me dire de ne pas me retenir, et qu’ainsi je pourrais le sodomiser plus longtemps. Il avait d’ailleurs à peine eu le temps de m’aspirer la verge à nouveau que je me sentis me vider à longues giclées qu’il avala sans sourciller.
    
    Après cela, pour me remettre en forme il s’allongea sur le dos et me demanda de m’asseoir sur sa bouche. J’étais un peu réticent dans ce sens que je continuais à craindre pour mon intimité anale. Mais devant mes yeux se dressait l’ennemi. Et là encore tomba une idée préconçue qui prétend que les pédés n’ont pas été gâté par la nature, car ce que je voyais pouvait supporter la comparaison avec ce que j’offrais. Je sentis alors ses mains m’écarter les deux fesses et sa langue se promener sur mon anus. J’eus une petite réaction de défense, mais finalement ce n’était pas si désagréable, et cette bite dressée devant moi était particulièrement érotique, ce qui fait que, me rappelant un souvenir d’adolescent de masturbation collective ou on se caressait mutuellement, empoignant l’engin couché sur son ventre ...
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