1. Une lueur dans les ténèbres...


    Datte: 18/05/2018, Catégories: fh, jeunes, médical, uniforme, amour, massage, Oral pénétratio, historique, Auteur: Sofie, Source: Revebebe

    ... temps nous est compté.
    
    Il s’assoit à côté de moi, sur le lit et retire finalement sa chemise puis son maillot de corps. Enfin, je découvre son torse musclé et imberbe. De suite, je pique un fard à la vue de son corps. Pour me rassurer, il me prend la main et m’embrasse amoureusement. Certes, je me sens plus confiante, moins stressée. En revanche, je dois n’être qu’une tête rouge tranchant encore plus avec ma tenue blanche. Il dépose sur mon menton, mon cou des baisers qui ne font qu’agrandir le brasier au fond de moi. Il me serre dans ses bras et nous nous allongeons sur le lit.
    
    Ses mains passent sur ma tenue d’infirmière, cela faisait si longtemps que je n’avais pas reçu un geste de douceur. J’entends ses bottes tomber sur le plancher. Ce bruit est une courte diversion pour ses doigts qui retroussent ma robe dévoilant centimètre par centimètre ma peau nue. J’ouvre ma tenue et dévoile ainsi une partie de mon soutien-gorge. Antoine plonge aussitôt ses lèvres sur mon décolleté et ma gorge. Ces baisers me rendent folle d’excitation. Sur mon ventre, à travers nos vêtements, je sens sa virilité se frotter de plus en plus évidente sur moi. Antoine défait son pantalon et délaisse un instant mon décolleté et ma gorge humide de sa salive et sèche à l’intérieur.
    
    Assis sur le lit, il ôte rapidement son pantalon. Nous sommes tous les deux impatients autant par l’excitation que par la peur de voir tout cela s’interrompre par une alerte. Le voici vêtu uniquement d’un caleçon ...
    ... large. Il pose sa main sur la mienne, mêle ses doigts aux miens. Je m’assieds à ses côtés, nos regards se croisent. Dans chacun de nous, une lueur de désir ne cesse de croître. Je lui adresse ses quelques mots
    
    — Ne bougez pas, je reviens de suite.
    
    Aussitôt je me lève et pars chercher une bassine d’eau qui se trouve en face de nous. Je la saisis puis reviens à ses genoux. Je prends la lavette et la trempe dans l’eau. Je passe la lavette sur son front, je nettoie son visage, son nez fin, ses lèvres épaisses. Mon gant de toilette descend sur le profil de son cou. Au contact de ce tissu sur son buste, il frémit, cela le rend encore plus séduisant. Je descends le long de ce corps musclé, je redessine ses abdos, ses côtes. Je remonte au niveau de son cœur, j’y laisse ma main un instant. Je sens son cœur battre à tout rompre. Nos regards se mélangent de nouveau. Puis le mien se jette vers le bas et tombe sur son caleçon où une bosse est flagrante. La tension se fait palpable soudainement.
    
    Qui de nous deux fera le geste qui nous glissera vers l’irréversible, l’irrésistible ?
    
    Dans ce silence lourd de sens, on entend des rondes de soldats aux dehors et des aboiements d’officiers, dehors la tension monte, dedans elle est à son paroxysme.
    
    Comprenant la situation tous les deux, nous devons agir, ne pas traîner, c’est lui qui brise cette attente aussi insoutenable que dangereuse. Antoine se soulève avec ses avants bras, ses fesses décollent du lit. Dans un réflexe sans même trop ...
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