J'ai encore rêvé d'elle
Datte: 06/07/2021,
Catégories:
ff,
ffh,
cadeau,
fépilée,
revede,
Oral
glaçon,
Auteur: Zé, Source: Revebebe
... (orifice dans lequel je pourrais passer des heures sans me lasser). La chambre est bientôt le théâtre d’un concerto de grognements bestiaux, chacun essayant de satisfaire au mieux un partenaire. Impossible de savoir s’il s’écoule deux minutes ou deux heures…
Mais bientôt, tout s’accélère. Elle est la première à jouir, vaincue par les assauts méthodiques et répétés que tu infliges à sa vulve satinée. Un soubresaut la traverse et elle étouffe un cri guttural en gobant mes couilles. Aussi surpris que satisfait, je me plonge instinctivement au fond de tes entrailles et déclenche chez toi les prémices d’un orgasme dantesque. Une convulsion soudaine contracte tous tes muscles. La pression exercée sur mon membre est insoutenable, et j’ai peine à me dégager en catastrophe de ce cocon euphorisant. Je suis coupé quelques secondes de la réalité de ce rêve, égoïstement centré sur mes sensations, me répandant à longs jets brûlants dans le sillon de ta croupe. Ma sève gluante suinte dans cette rigole naturelle, s’agrippant aux quelques poils présents, terminant sa course sur le visage de notre complice. Elle s’ébroue et décide de prolonger la volupté un instant encore. Soigneusement, elle remue sa langue pointue pour recueillir chaque miette du précieux liquide.
Commençant par ton petit bouton et tes muqueuses survoltées, elle ...
... remonte progressivement ce canal sirupeux. Chaque contact t’arrache un soupir exalté. Son intervention perverse a stoppé net la chute de ton excitation et tu sens poindre crescendo une extase colossale. Elle atteint finalement la source épaisse et abondante que mon éjaculation a déposée sur ta petite rondelle. Sa bouche se plaque tout autour. Elle aspire et nettoie la moindre gouttelette de sperme acidulé, léchouillant cette zone interdite, violant ton sphincter avec sa langue rose et se faufilant entre les replis innervés de ta chair. Ce dernier affront à la morale initie un lent frémissement qui se diffuse graduellement à travers le faisceau de tes nerfs, se propageant bientôt à tout ton être. Un raz-de-marée submerge ton cerveau et tu t’effondres sur le lit, secouée par des spasmes incontrôlables, intenses répliques du séisme jouissif qui vient de te terrasser…
Je suis toujours là, debout, pendouillant et bienheureux. L’exhibition va prendre fin, je le sais. Je la regarde une dernière fois t’embrasser gloutonnement, te faisant partager l’assemblage subtil de sa salive, de ton jus et du mien. Tu es repue, assouvie. Un sentiment de plénitude se déchiffre dans ton regard. Le tableau s’efface devant moi. Je sens mon esprit se détacher de cette scène orgiaque. Dans un tout dernier souffle, je distingue tes paroles :« merci ».