J'ai encore rêvé d'elle
Datte: 06/07/2021,
Catégories:
ff,
ffh,
cadeau,
fépilée,
revede,
Oral
glaçon,
Auteur: Zé, Source: Revebebe
... dite. Top tard pour faire marche arrière. Et d’ailleurs, tu ne le souhaites pas. Tu veux pousser plus avant l’exploration de ce tabou. Tu as franchi la ligne blanche, prête à bafouer ce que la bienséance judéo-chrétienne considère comme la normalité. Ne dit-on pas que lorsque le vin est tiré, il faut le boire ? Et parfois jusqu’à la lie…
Au creux du nombril, un froid mordant t’arrache un petit cri de surprise. Tes paupières se soulèvent et tu la vois jouer avec le glaçon. Elle le promène savamment sur ton ventre. Il remonte progressivement vers tes seins. Elle attrape un téton avec ses lèvres tout en gelant l’autre. La chaleur de sa bouche. La morsure de la glace. Ton anhélation s’accentue et tu gémismezza voce.
La touffeur de la pièce a tôt fait de réduire le glaçon à la portion congrue. Elle le place entre tes lèvres et tu acceptes un nouveau bécot passionné de sa part. Sa langue, longue et fine, se glisse hors de ta bouche, lichotte tes babines, sensibilise ton cou, étourdit tes seins, estomaque ton ventre plat.
Elle en a profité pour glisser ses paumes sous ton fessier. Descendant du lit sur les genoux, elle se retrouve avec ton tanga dans les mains ; et toi, tu te retrouves tout à fait nue, les cuisses faiblement écartées.
Tu grelottes, comme dans un blizzard, mais c’est la fièvre qui t’emporte. Ton entrejambe est un marécage. Le sang cogne contre tes tempes. Tu veux du sexe. Tu relèves la tête et la vois ôter tes chaussures, agenouillée sur la moquette. ...
... Tiens, tes bas ont disparu de l’histoire : pendant ma rêverie cela semblait parfaitement normal. Elle baise tes petons, puis tes mollets, tes cuisses. Ses mains zigzaguent sur le bas de ton corps. Tu t’allonges à nouveau et profites de ses caresses sur la face intérieure de tes cuisses. Elle prend son temps, te fait espérer et redouter la suite. Tu ne sais pas si tu es prête. Tu ne sais plus. Tes idées sont troubles. À ce moment, tu prends conscience qu’une phalangette s’est déjà introduite en toi. Ce qui restait de ta volonté se délite, ta morale abdique, tu oublies tous tes doutes et t’offres sans retenue…
Sa langue reptilienne écarte tes lèvres, lapant un flot intarissable de cyprine collante, humant sa fragrance capiteuse. Elle remonte jusqu’à ton excroissance charnue, tumescente et fiévreuse. Elle l’avale à pleine bouche, folâtrant tout autour, titillant et suçotant. Son majeur a maintenant rejoint son index, envahissant ta vulve, fouissant, décuplant ton plaisir. Ce n’est certainement pas le premier cunnilingus que tu reçois, mais cette fois, tout est différent : c’est une femme qui s’en occupe. Elle sait très exactement ce qui prolongera ce délice ; elle n’hésite pas, ne bafouille pas. Pas d’erreur ou d’imprécision. Elle te mène sciemment vers un formidable orgasme, prenant tout le temps nécessaire, se délectant de tes gémissements, amplifiant à l’envi les contractions involontaires de tes muscles. Tu saisis sa tête à deux mains, ébouriffes ses cheveux et écrases son ...