J'ai encore rêvé d'elle
Datte: 06/07/2021,
Catégories:
ff,
ffh,
cadeau,
fépilée,
revede,
Oral
glaçon,
Auteur: Zé, Source: Revebebe
... souffrir. À croire que tu lis dans mon esprit ! Tu t’accroupis, déboutonnes cet ennuyeux vêtement et me libères. Tout juste dégagé, mon vit se retrouve chaudement enveloppé par ta bouche experte. Quelle sensation ineffable ! Alternance de coups de langue et d’étouffements profonds. Tu suces, supes, lèches, gobes et branles. Mes mains enserrent ta tête, se mêlent à tes cheveux. Je te force à aller toujours plus loin. Je sens poindre mon plaisir et me délecte par avance à l’idée de tapisser ta gorge. Mais ce n’est pas ce que tu veux. Tu te dégages adroitement. Dorénavant, tu prends les choses en main. Tu as une idée précise, et nous serons (elle et moi) les esclaves de ton caprice pervers, bienheureux pantins de ta jouissance. Tu te relèves et t’éloignes. Tu n’as pas prononcé une seule parole, mais je sais parfaitement ce que j’ai à faire.
Black-out…
Vous êtes toutes les deux sur les draps, imbriquées dans un provocant 69. Elle est dessous, et toi dessus, en parfaite symbiose. Tu m’offres un spectacle torride : les petons dans le vide, les hanches cambrées, le fessier haut perché, très largement écarté. Ma vue descend le long d’une raie terre de Sienne jusqu’au sexe trempé auquel notre belle inconnue s’abreuve avec délectation. Un irréfragable attentat à la pudeur. Une véritable invitation à la dépravation. Qui suis-je pour résister ? Je décide donc de vous rejoindre pour me vautrer dans le stupre. Je m’approche. Tu n’y fais pas attention, trop occupée à dévorer la moule ...
... imberbe de ta partenaire d’un soir. Tu sembles te régaler et y prendre un plaisir certain. Ce suc melliflu, son parfum floral, sa consistance visqueuse, toute cette nouveauté te fait tourner la tête. Tu t’appliques, mais en te fiant surtout à ton instinct de femme. Tout à ton plaisir, tu n’entends pas le bruit feutré de mes pas sur la moquette.
Je pose mes mains sur tes reins. Une insaisissable pellicule de transpiration recouvre ton dos. Ma bite rigide s’avance et t’effleure, te chatouille et t’écarte. L’intromission est si facile, comme dans une motte de beurre tendre. Quelques centimètres, le gland uniquement. Tu tournes ton visage vers moi et me lances un clin d’œil avide. Acceptant l’invitation, je raffermis mon étreinte et te pénètre pleinement avec un râle sauvage. Tu gémis en retour. Une chaleur moite m’encercle. Prisonnier de tes muscles, je me sens enfin à ma place. Je colle le renflement de tes fesses tout contre mon pubis, forçant le passage, cherchant à combler au maximum l’espace disponible. Mon sexe prend possession du tien. Il s’y plaît, c’est certain. Ils sont faits pour s’entendre tous les deux. L’étau de tes lèvres me met au supplice. Un si délicieux supplice. J’entame un va-et-vient puissant. Mon intervention a saboté votre puzzle saphique, et notre acolyte n’est plus en mesure d’utiliser sa bouche sur toi. Il en faudrait bien plus pour la décourager et, à chaque coup de boutoir, je peux la sentir pétrir de son pouce ton orifice dilaté par ma présence ...