1. Les Amazones - Épisode 3


    Datte: 23/01/2018, Catégories: fh, ff, ffh, frousses, neuneu, entreseins, facial, Oral fist, fdanus, fsodo, historique, historiqu, Auteur: André 59, Source: Revebebe

    ... lui a demandé de faire de même. Ils m’ont caressée ainsi alors qu’à genoux, je poussais mon cul de plus en plus haut, ma bouche mordant les draps pour ne pas montrer ce que je ressentais. Je gémissais que je n’en pouvais plus. Inès l’a senti. Ils ont retiré leurs doigts et elle a guidé la queue d’Ernesto à l’entrée de mes fesses qu’elle écartait en même temps. Il a posé ses grosses mains sur mes hanches et il est entré lentement. Avec une douceur, une attention incroyable venant de ce simplet. J’étais crispée. Inès a caressé mes cheveux, m’a rassurée. Elle m’a dit que j’étais belle, que je la rendais belle quand elle me regardait. Le bout de son membre a forcé l’entrée quand je me suis détendue et le reste a suivi. Je l’ai accueilli. C’était trop gros, mais je ne pouvais pas crier. Je ne voulais pas crier, mais j’avais peur qu’il me déchire, qu’il me coupe en deux. Il ne fallait pas qu’on nous entende. Et puis il a commencé à aller et venir, il se retirait presque entièrement et il replongeait, à chaque fois plus profondément. Je sentais ses couilles dures et rondes cogner à ma porte alors que sa queue m’enfilait, me dilatait. J’avais le cul écartelé. Il grognait comme un buffle en rut. Il dégoulinait de transpiration alors qu’il crochait mes seins de ses doigts noueux ; il m’a clouée sur cette couche jusqu’à ce qu’il jouisse au plus profond de mes entrailles. J’ai pleuré, mais ensuite je ne me suis jamais sentie aussi heureuse. Il m’a quand même fallu quelques jours avant ...
    ... de pouvoir m’asseoir. Pour éviter les questions gênantes, j’ai fait croire que j’étais indisposée. C’était il y a deux ans. Et depuis il ne s’est pas passé une semaine sans que cela recommence. Mes reins se sont habitués. Et j’y trouve du plaisir. Beaucoup de plaisir. Jusqu’à l’épuisement.
    — Comment peux-tu parler ainsi ? Il t’a fait mal.
    — Plus maintenant. Et c’est toi qui me dis ça ? Toi dont la religion a pour emblème un instrument de torture ? La douleur nous rappelle la passion de notre Seigneur, alors autant le faire pour notre bien. Et notre plaisir.
    — Et il ne t’a jamais forcée ? Jamais déflorée ?
    — Non, Inès et moi avons toujours pris l’initiative. Il se laisse faire et guider. Comme un enfant.
    — Un enfant membré comme un taureau si j’ai bien entendu…
    — Serais-tu jaloux ?
    
    Je l’ai embrassée et caressée, mes mains couraient sur la peau de ses cuisses. Elles étaient si douces… Et j’ai joui comme jamais alors que ses doigts serraient la base de mon membre. J’ai soupiré, apaisé, mais frustré :
    
    — Comme un tigre, belle dame.
    — Tigre, taureau, quelle ménagerie ! Parle-moi plutôt de la prisonnière.
    — Que dire ? Elle est belle… et muette. Elle s’est enfermée dans un mutisme complet. La moindre tentative d’approche déclenche une réaction de chat sauvage. Elle crache, montre les dents. Bref, impossible d’en tirer un mot.
    
    Isabella se montra déçue.
    
    — Vous, les hommes, vous ne savez vraiment pas y faire avec les femmes. Et si j’essayais ? Avec l’aide d’Elena ...