Les Amazones - Épisode 3 - Histoires de Sexe

Les Amazones - Épisode 3

... dents. Il était énorme, mais j’ai fermé les yeux et réussi à l’avaler. Je l’ai fait entrer, sortir, glisser, jusqu’au fond de ma gorge.

J’imaginais sa bouche ouverte, béante, remplie par ce membre énorme, la salive coulant à la commissure des lèvres alors que, le regard clos et les cheveux défaits, elle l’engloutissait, gorge palpitante, tétons durcis, cuisses trempées par le désir. Les couilles rondes et dures cognant sa bouche alors qu’elle avalait ce phallus jusqu’à la garde, à en vomir. Crevant de jalousie, je le voyais, ce bienheureux, qui entrait et sortait d’elle en râlant de plaisir. Et lui avait-elle fait aussi l’offrande de son cul ? J’étais sûr qu’il l’avait prise de ce côté. Et je la voyais à nouveau, cette fois, visage plaqué au sol, levant sa croupe vers le ciel pour qu’il la possède. Un tableau superbe et obscène à la fois. Et qui me troublait sans que je veuille vraiment me l’avouer. Mais mon corps, lui, savait. J’ai recommencé à bander, de fort belle manière, même si en terme de dimension, j’étais loin de faire la comparaison avec ce colosse. D’un air faussement indifférent, elle a commencé à faire aller et venir sa main tout du long, en continuant son récit.

— Il a posé ses grosses mains sur ma tête et puis il a commencé à donner des coups de queue dans ma bouche. Inès se tenait à genoux derrière moi, les mains sur mes seins, qu’elle caressait doucement.
— Sois prête, il va bientôt se vider dans ta gorge.

J’étais horrifiée et excitée à la fois. Les ...

... doigts de mon amie, en même temps, fouillaient mes cuisses, ouvraient ma fente, j’étais trempée. Je n’ai même pas eu mal quand elle a enfoncé son pouce entre mes fesses pour ensuite y glisser un des objets qu’elle affectionnait tant.

— Quand tu seras prête, ce sera lui qui viendra en toi, un jour, bientôt, me glissa-t-elle dans l’oreille.

Lorsqu’il a déchargé d’un coup, j’ai été tellement surprise que j’ai tout avalé, avec un haut-le-cœur qui fit rire Inès.

— Avec un peu d’habitude, tu sauras le garder en bouche et le recracher. Comme on le fait d’un bon vin qu’on déguste.

Elle m’a aussi appris à faire couler ce vin entre mes seins, mais j’avoue que je préfère quand même le boire. C’est ainsi que j’ai donné du plaisir à un homme pour la première fois. Et depuis, je jouis de la jouissance que je procure. Je te choque ?

Choqué ? Disons plutôt que j’étais sidéré. J’avais devant les yeux un visage d’une douceur angélique, celui d’une sainte, mais sa bouche de vierge suçait mieux que celle d’une courtisane. Avec un tel tempérament, Isabella et Elena auraient pu vider les couilles de toute notre armée.

— J’ai du mal à croire qu’on puisse éprouver quelque volupté avec la bouche, mais au point où nous en sommes… Et je présume que ce sont ces deux-là qui t’ont initiée à être prise contre nature, n’est-ce pas ?
— Bien sûr. Inès m’avait déjà entraînée avec des objets de plus en plus gros. Un jour, elle m’a prise devant lui. Elle a entré ses doigts entre mes fesses et ...