Camille, Hélène, Clémence et les autres...
Datte: 03/07/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
frousses,
inconnu,
voisins,
nympho,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
coprolalie,
bougie,
bourge,
Auteur: Solario, Source: Revebebe
... un point de vue imprenable sur le dessous de leurs jupes et, dans un mouvement rapide, j’aperçus le string blanc de Camille. Le désir me vrilla l’entrejambe. J’avalai ma salive difficilement quand soudain je vis que Camille me regardait. Ses amies riaient toujours mais elle, elle me fixait juste, toujours ce sourire mutin aux lèvres. Je vis sa main gauche attraper sa jupe, la remonter lentement, tandis qu’elle plaquait ses fesses contre la rambarde. Je vis son petit cul épouser la forme des barres de métal, l’une d’entre elles se glissant entre ses fesses. Puis elle me fit un clin d’œil et rentra dans son appartement que ses amies avaient fini par réussir à ouvrir. Ce soir-là, j’ai cru défaillir.
Vous comprendrez donc aisément pourquoi j’avais accepté avec empressement l’invitation de Monsieur C. à dîner.
Le soir venu, je me rendis le cœur battant quatre étages plus bas et frappai à la porte. Madame C. m’invita à rentrer et me fit passer au salon où son mari, assis dans un fauteuil, lisait le journal. Il se leva, me serra la main et m’invita à m’asseoir en me servant un verre de porto. Nous parlâmes de mes études, de mes parents, un peu de son travail. J’essayai d’être intéressant, mais toute une partie de mon cerveau ne cessait de se demander où était Camille. Bien entendu, elle vivait à l’étage au-dessus, mais je savais qu’elle dînait régulièrement chez ses parents. J’avais entr’aperçu son jeune frère, Thibaut, mais aucune trace de sa sœur. Avant de passer à table, je ...
... m’arrêtai devant un cadre accroché au mur. Il s’agissait d’une très belle sanguine, sans doute du 17ème siècle. Le portrait d’une jeune fille au regard malicieux. Je ne pus m’empêcher de penser à Camille. Son père me demanda :
— Vous vous intéressez à l’art, Jean-Baptiste ?
— Au dessin principalement, et tout particulièrement aux portraits. Je dessine un peu moi-même.
— Vraiment ? très intéressant…
Ce sinistre snob commençait à sérieusement me taper sur les nerfs. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ajoutai :
— Oui, en fait je suis plutôt doué pour saisir les expressions des visages.
Je pratiquais en effet en amateur le dessin depuis quelques années et avais réalisé des portraits assez réussis que j’offrais à mes amis ou à ma famille. Enhardi par le silence de Monsieur C., j’ajoutai, toujours plus prétentieux :
— Cette sanguine est superbe. École hollandaise, fin 17ème ?
— Mon garçon, ça, il faut le demander à mon épouse, ce dessin vient de sa famille.
Puis il m’invita d’un geste à passer à table où son fils et sa femme nous attendaient. Désespéré, je ne pus m’empêcher de demander après quelques minutes où était Camille. Madame C. me répondit :
— Elle est avec son fiancé au théâtre.
Je dissimulai ma déception tant bien que mal mais étais véritablement déçu. Je me trouvais stupide d’avoir espéré que quelque chose puisse se passer entre nous, quand son frère Thibaut me rassura quelque peu en ajoutant après sa mère :
— Fiancé, tu parles ! tout ça parce ...