Camille, Hélène, Clémence et les autres...
Datte: 03/07/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
frousses,
inconnu,
voisins,
nympho,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
coprolalie,
bougie,
bourge,
Auteur: Solario, Source: Revebebe
... que ça fait plus d’un mois qu’ils sortent ensemble et tu les imagines déjà mariés !
— C’est un garçon charmant, et j’espère qu’ils… j’espère que ça va durer…
Je ne pus m’empêcher de compléter sa phrase inachevée par un « cette fois-ci ». Après ce que Camille m’avait montré de sa personne et ce sous-entendu, je commençais à cerner un peu mieux la personnalité de ma voisine, qui semblait être une belle petite délurée.
Ragaillardi par ces conclusions toutes personnelles, je m’immergeais de nouveau dans la conversation, en faisant tout mon possible pour me faire apprécier de ses parents, me disant que c’était le meilleur moyen d’être amené plutôt tôt que tard à la rencontrer. Les C. étaient des bourgeois ennuyeux et prétentieux sans grande originalité. Mme C. était issue de la vieille noblesse du Perche. Son mari était issu d’une famille de parvenus dont l’origine de la fortune était floue. Je les voyais tour à tour collaborateurs pendant la Seconde Guerre mondiale ou boursicoteurs acharnés. Au fil de la conversation, Monsieur C. revint à la sanguine et demanda à sa femme de confirmer mon estimation. J’avais vu juste : le dessin venait de Hollande et Madame C., quand elle apprit que je m’intéressais à l’art, s’ouvrit tout d’un coup. Elle se mit à m’appeler Jean-Baptiste et insista pour me montrer les vestiges de ses collections familiales après le café.
Elle possédait de très belles pièces, dont un Degas, un Watteau et deux très belles gravures de Piranèse. Elle me ...
... prenait maintenant par le bras et me harcelait de questions. Quand je lui dis que je dessinais moi-même, elle me fit promettre de lui montrer mes « œuvres ». De son côté, elle dessinait également mais manquait cruellement de technique, comme elle me l’avoua spontanément. Notre intérêt partagé pour l’art nous avait rapprochés étonnamment vite et m’avait révélé cette femme que son collier de perles et son air guindé m’avait fait classer dans la catégorie bourgeoise guindée et « coincée du cul ». De taille moyenne, les cheveux châtains courts maintenus en place par un serre-tête, elle avait une silhouette charmante pour son âge. Je la trouvais tout de suite très appétissante même si je la pensais alors inaccessible. Sous son corsage strict, je devinais des seins de taille moyenne, du 90B sans doute. Elle avait les traits fins, peu de rides, la peau naturellement mate et je supposais que Camille tenait de sa mère ce délicieux duvet blond que j’avais aperçu. En fait, plus je la regardais, plus je découvrais des ressemblances entre la mère et la fille. La première dissimulant ses charmes derrière ses vêtements quand la seconde laissait toujours le bon bouton ouvert pour les laisser deviner.
Vers 22 heures, j’entendis du bruit à l’étage du dessus. Camille devait être rentrée. Je laissai mes hôtes quelques minutes plus tard et Madame C. me fit promettre de revenir dîner la semaine prochaine pour que Camille me rencontre. Laisser Hélène en pensant à Camille, me laissait dans un état ...