1. Les Veilleurs (1)


    Datte: 02/07/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory

    ... quelque chose n’était pas à sa place. Quelque chose de dur contre lui. Elle était venue se blottir contre lui. Il n’osait pas bouger, de peur de la réveiller tout en pestant intérieurement qu’elle soit venue se coller contre lui. Et par-dessus tout, il pestait contre lui-même. Son corps réagissait déjà à cette présence. Dormait-elle vraiment ? Elle remuait les fesses au fur et à mesure que son sexe répondait à son contact. Il recula. Elle aussi. Elle saisit sa verge :
    
    ─ Voilà quelqu’un qui me semble heureux de la situation !
    
    ─ Non, arrête, s’il te plaît, Lucie, je… je pourrais être ton père.
    
    ─ Techniquement oui, tu pourrais. Mais en pratique je ne suis pas ta fille, et tu n’es pas mon père. Il n’y a donc aucun problème.
    
    ─ Tu n’es pas obligée de faire ça.
    
    ─ Non, je sais. C’est bien pour ça que je le fais.
    
    ─ Mais ton copain…
    
    ─ N’est officiellement plus mon copain, affirma-t-elle.
    
    Le ton ferme contrastait avec ses yeux encore embués de sommeil. Il ne chercha plus à argumenter. Il était devenu clair qu’elle avait redistribué les cartes, et il était tout aussi évident qu’elle lui avait attribué le meilleur jeu. D’ailleurs elle avait décidé de clore le débat. Elle se tourna, s’appuya sur un coude et posa ses lèvres sur les siennes. Elle fit mine de le pousser et il fit mine de céder, se retrouvant sur le dos. Elle l’embrassa tandis que sa main s’agrippait au sexe maintenant en pleine érection.
    
    ─ Tout compte fait, ce n’était pas tant une soirée aussi ...
    ... merdique que ça !
    
    Elle approcha ses lèvres de la verge érigée. Au premier regard, elle n’avait rien d’exceptionnel ; elle était simplement bien proportionnée. Mais elle avait de la difficulté à refermer la main autour de l’engin. Elle le masturba doucement tout en tétant le gland. Il était clair qu’elle ne pourrait pas faire entrer plus de la moitié de cette bite dans sa bouche, mais elle n’avait aucun doute sur sa capacité à absorber la totalité avec ses autres orifices. Elle la sentirait passer, pour sûr ; elle espéra simplement que l’appartement ne soit pas trop mal insonorisé.
    
    Il était encore un peu réticent à toucher ce corps juvénile qu’il avait sorti d’un mauvais pas quelques heures auparavant. Il ne pourrait cependant pas résister longtemps, tant elle mettait d’ardeur à le convaincre de se laisser aller. Il avait ses fesses devant le nez, et elle se servait divinement bien de ses doigts et de sa langue. Lorsqu’elle sentit les deux grosses mains agripper ses fesses et sa langue courir le long de ses lèvres, elle se relâcha quelques secondes, heureuse qu’il ait finalement cédé.
    
    Si la reconnaissance motivait en partie son geste, le sentiment de sécurité qu’elle ressentait en sa compagnie en était la principale source. Elle pouvait s’abandonner sans crainte.
    
    Son sexe était comme un énorme sucre d’orge qu’elle léchait avec délectation. Elle savait pertinemment qu’elle ne lui ferait pas une gorge profonde ; en tout cas, pas dès la première fois. Elle goba le gland et ...
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