Frère de sang (1)
Datte: 02/07/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Jane Does, Source: Xstory
... mouvements saccadés du poignet de mon frère.
Ce que serrent ses doigts n’a rien d’un bâton de berger. Et il astique un manche raide avec une sorte de rictus sur les lèvres. Je me sens toute conne à deux pas de là, tapie dans l’obscurité à épier cette branlette incompréhensible pour moi. Avec toutes les nanas qu’il se tape, qu’il ait encore besoin de se défouler manuellement me dépasse largement. Je ne sais pas vraiment quoi faire ! Intervenir et il va se trouver surpris en plein travail, repartir dans mon lit ? Mais avec ce que j’aperçois dépassant de sa main, mon corps aussi réagit bizarrement.
Je me traite de cinglée, de perverse, c’est mon frangin qui se tape une queue là dans mon salon. Plus je regarde la scène et moins je désire repartir dans ma chambre. Le pire de l’affaire, c’est que je me surprends à mouiller comme une collégienne qui baverait devant son premier Jules. Le gland qui déborde de la main encerclant le tube, pourquoi me fait-il un effet pareil ? Je n’ai aucune explication rationnelle. C’est idiot, mais je sens sur mes cuisses quelque chose qui coule. Et comme je ne porte pas de culotte pour dormir...
L’autre folle sur l’écran tend son gros cul à un bel étalon aussi noir que de l’ébène. Et je réalise que la bite s’enfonce dans la chatte de la demoiselle, qui généreusement écarte deux jambes trop parfaites. Hervé s’arrête par instant, comme pour contempler le spectacle de cette fornication hors norme. Puis il reprend de plus belle sa masturbation, ...
... alors que la drôlesse hulule comme une chouette. Nouvelle stase dans l’action entreprise, nouvelle posture aussi des deux baiseurs sur le petit écran. Et lorsque le poignet reprend ses va-et-vient, l’autre à la télé, bestialement, crie que c’est bon.
Mais tout ceci ne dure sans doute longtemps que dans mon esprit. Je vois une sorte de jet blanchâtre jaillir du poireau que secoue toujours mon frérot. J’hallucine aussi quand je le vois sortir de dessous un coussin de mon sofa une culotte. Celle que je portais cet après-midi, celle qui théoriquement devrait dormir dans la panière de linge sale. Comment ce petit saligaud peut-il être allé fouiller dans ma salle de bain ? Ou s’est-il servi lorsqu’il est allé se brosser les dents ? Je ne vois pas d’autre explication...
Il la hume un instant... bonjour les odeurs, avant de s’essuyer le sexe dans ce chiffon habituellement destiné à me cacher les fesses. Je n’en reviens pas ! Mon frère est un... branleur. Il se branle chez moi dans un de mes sous-vêtements. Pas possible, je crois rêver, tout éveillée. C’est dingue comme position. Les cris de la salope qui baise à grand renfort de bruit, râle comme si elle jouissait vraiment. Ça sonne faux, à tel point qu’Hervé ferme le téléviseur. La maison retrouve une obscurité partielle.
Reste la minuscule lampe de chevet qui pisse une lumière blafarde. Je perçois les efforts du grand dadais pour se relever. Il est temps que je reparte vers ma couche. Il lui faut quelques minutes durant ...