1. Complexe vaincu 1


    Datte: 28/06/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... vagin et la membrane témoin de ma virginité. Je présentai ma foufoune toute excitée, traçai un passage entre mes poils du bout d’un index, et attirai contre mes lèvres humides ce gland destiné à me percer avant de me fouiller et de nous unir dans le plaisir. Je frottai la tête sur l’humidité chaude de ma chatte impatiente mais un peu craintive, l’enduisis de mes secrétions et le priai, langoureuse et hardie de pousser sa verge, d‘aller de l‘avant sans hésiter.
    
    A plusieurs reprises sa lance fit ployer mon hymen. Soudain la fine peau se déchira. Je ressentis cette déchirure comme une brûlure. Robert emporté par son élan passa l’obstacle, glissa en moi et colla son pubis contre mon bas-ventre tandis que ses couilles venaient battre mes fesses. Un cri m’avait échappé. Mon chéri s’immobilisa, queue entièrement enfouie dans ma grotte. Les pulsations de cette bite dure et bloquée contre les parois de mon trou me faisaient frissonner.
    
    Il voulut s’excuser de n’avoir pas su freiner sa progression. Je le félicitai de m’avoir enfin dépucelée, le remerciai et lui imposai le silence en l’embrassant. Avais-je mal ? Pas vraiment et pour le lui prouver je soulevai mon bassin et réclamai du mouvement. Il commença un retrait, mes mains appuyèrent sur ses fesses musclées et malgré une légère douleur j’encourageai le va-et-vient de son sexe dans le mien. Gagnant en ...
    ... assurance, mon amant sut me faire oublier l’insolite pincement de l’entrée de ma moule. A force de patience et de douceur, il me fit atteindre le plaisir. Essoufflée, mouillée de sueur, je frémis, je m’envolai et retombai heureuse et comblée. Au dernier moment il eut le réflexe de se retirer et déversa dans ma toison pubienne un liquide abondant et gluant: notre plaisir était partagé. C’était le bonheur à deux.
    
    Oublions les nécessaires mesures d’hygiène et de propreté indispensables, accomplies comme des jeux à deux. Cette nuit je me montrai insatiable, il fut vaillant et même beaucoup plus inventif que je ne l’avais prévu, il m’étonna, me baisa avec ferveur. L’examen était concluant. Douze centimètres pouvaient suffire à me satisfaire sexuellement, à me faire connaître des orgasmes délicieux.
    
    A partir de ces moments inoubliables notre vie fut transformée et rythmée parla recherche de la jouissance qui nous laissait fourbus, harassés, vannés, vidés: HEUREUX! Nos études terminées, nous avons trouvé du travail, nous nous sommes mariés, nous avons déménagé, toujours amoureux l’un de l’autre. J’avais réussi ma mission, je faisais le bonheur de mon mari, il me le rendait bien. Notre vie sexuelle et notre vie sentimentale étaient exemplaires. MAIS un jour…Ce jour que Robert avait craint de voir arriver, ce jour qui pour moi n’arriverait JAMAIS, un jour …
    
    à suivre 
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