1. 1968 : une révolution puissance X (2)


    Datte: 23/01/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: blueyes, Source: Xstory

    ... s’enivrait de ces prémices et couvait jalousement les derniers fruits défendus : les exquises pommes dans leur corbeille de coton, étal décolleté qu’il consacrait par d’infinies cajoleries - la sanctification était suggérée par les soupirs d’aise de Sandrine - serments de jouissance pour l’instant informulés, latent, à l’orée de deux éminentes tétines, certes encore soustraites au regard mais qui, à travers le soutien-gorge, réagissaient avec un enthousiasme prometteur aux multiples déclarations des doigts ; et puis, surtout, le Graal, cet abricot fendu et juteux en attente de couronnement, dans l’écrin de la culotte, bientôt mûr pour l’intronisation. Bientôt, il pénétrerait la porte du Royaume.
    
    Sandrine, de son côté, gagnait en assurance. L’intimité grandissante autorisait qu’elle vaque devant son bien-aimé en petite tenue, son intégrité juste embarrassée par des sous-vêtements. Alors chaque mouvement accusait ses charmes. Pudeurs de jeune fille de plus en plus équivoques, une sainte-nitouche allumeuse à défaut d’être salope, elle savait comment, en simulant l’ingénuité, valoriser ce qu’elle était censée cacher. Sans jamais abattre ses cartes, l’adorable petit cul jouait subtilement avec ses inestimables atouts, la pleine vocation sexuelle de ses formes épanouies. Elle balançait du bassin et exacerbait ses courbes, cambrait ses reins, dressait sa poitrine, optimisait la rondeur de ses seins. De dos, c’était encore pire. Thibaud en avait le souffle coupé. Le moindre ...
    ... mouvement célébrait le centre de gravité, certifiait les lois de l’attraction universelle d’une croupe insolente de jeunesse, diaboliquement ferme et pleine, incroyable aimant à queue.
    
    Le garçon ne pouvait pas dissimuler l’énorme bosse qui déformait son boxer. Au final, des deux, il était le plus complexé. II comparait son érection à la pureté supposée des intentions de sa dulcinée et, dupé par la comédienne, se jugeait coupable de bander ainsi comme un taureau en rut. C’était complètement déplacé. Au lieu d’afficher fièrement sa virilité, il l’enfouissait, autant que faire se peut, sous les draps. Il évitait de s’exhiber en slip, et, quand venait le moment de se revêtir, il se précipitait, enfilait vite un jean.
    
    Pourtant, la demoiselle n’était pas du tout insensible aux attributs du mâle. Elle matait en douce l’éminence, les fesses et les reins nerveux à souhait de son futur étalon. Elle ne connaissait rien au sexe mais se doutait, qu’en action, une telle machine devait sacrément secouer. Elle avait choisi Philippe parce qu’il était fort, puissant, sécurisant. Elle frémissait d’aise en sentant sous ses doigts, les biceps saillants, les pectoraux d’acier. Elle adorait enlacer cette montagne de muscles, cette masse de chair qui l’enveloppait tout en la protégeant. Et plus que tout, elle convoitait le gourdin encagé dans le tissu, surtout quand il tambourinait contre sa féminité. Elle n’aspirait qu’à céder à ce siège pernicieux. Elle avait tout loisir d’extrapoler l’ampleur de ...
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