Police polissonne (31) - Histoires de Sexe

Police polissonne (31)

... ta langue et ensuite tu devrais me laver tout le corps sous la douche avec soin et délicatesse. Quand nous serons seuls, tu devras m’appeler Maîtresse et quand nous serons à l’extérieur ; tu devras te comporter en véritable amoureux. M’appeler Sonia ou ma Chérie, me tenir par la main et m’embrasser en public, me tenir la portière et m’aider à descendre de voiture. Quand cela sera possible, tu devras me caresser où tu veux pour que mon corps reste en permanence en éveil. Tu ne porteras jamais de sous-vêtements ou au mieux un string, mais ce sera quand je le déciderai.

— Maîtresse, je suis à ton service...

— C’est bien ainsi, je t’autorise à me tutoyer et maintenant, je veux que tu me laves.

— Oui Maîtresse.

Aussitôt, il s’agenouille et lui prend le pied gauche qu’il masse avec délicatesse, puis il remonte le long des mollets et des cuisses de Sonia qui sent déjà le plaisir monter en elle. Elle se laisse glisser sur le bord du fauteuil et ouvre largement les cuisses pour que son serviteur puisse atteindre sa moule humide de désir. C’est aussi de cette façon qu’elle conçoit les relations amoureuses, elle aime toutes sortes de choses, mais ce qu’elle s’apprête à vivre est une première. Le discours qu’elle vient de tenir a mis tout son corps en émoi et elle sait déjà que ces fêtes de fin d’année vont être riches en surprises et un goût de reviens-y.

Il pose ses lèvres sur ces grandes lèvres, elle tressaute au contact et laisse échapper un filet de cyprine qui ...

... inonde la bouche de son serviteur. Il lape et suce le précieux liquide jusqu’à ce que le flux cesse. Elle se cramponne aux accoudoirs du fauteuil, car elle sent monter en elle ce fourmillement si caractéristique et annonciateur de l’arrivée d’un orgasme puissant.

— Emmène-moi à la douche !

Il l’aide à se relever et l’accompagne en lui tenant la main jusqu’à la vaste douche à l’italienne. Il ouvre l’eau, teste la température :

— C’est bien ainsi ?

— Parfait.

Il repère le réglage et inonde le corps de Sonia, puis il dépose dans le creux de sa main une large dose de gel douche marque« à l’huile d’amande douce, parfumée au jasmin ». Il lui en enduit tout le corps et savonne avec délicatesse les seins que ses paluches de forgeron (son ancien métier) englobent en totalité. Puis il descend le long de ses reins, passe sur son nombril et complimente Sonia sur le bijou qu’elle porte.

— Il est très joli, un cadeau ?

— Non, une partie de la bague de ma mère.

Sans un mot, il continue à la laver consciencieusement, il glisse sur la peau douce des fesses, puis des cuisses pour atteindre les pieds fins de la belle. Pour lui, ce moment est un pur bonheur, il n’avait encore jamais fait la toilette d’une femme, et tous ses sens sont en éveil. Une fois rincée, il lui passe un peignoir ; elle lui sourit et dit :

— Tu as été parfait, maintenant, tu vas m’aider à m’habiller.

— Oui Maîtresse, que veux-tu mettre ?

— L’ensemble minijupe qui est dans le sac avec le trench ...