Police polissonne (31)
Datte: 26/06/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... reprend le pied souillé et le lèche avec toujours autant de délicatesse jusqu’à ce qu’il ait retrouvé son aspect naturel.
— Relève-toi et assieds-toi, ordonne-t-elle.
Bob qui vient de vivre quelque chose d’exceptionnel obéit.
— Tchin..., nous allons passer de très bons moments, je pense. Mais il me faut des indices pour te satisfaire et je pense que nous devrions avoirs des accessoires pour...
— Je voudrais savoir si tu y as pris du plaisir.
— Écoute, je n’ai jamais pratiqué ce genre de jeu, et je dois avouer que oui, j’ai pris un grand plaisir et que je ne compte pas en rester là. Alors il faut qu’on trouve un sex-shop pour y acheter les accessoires qui vont bien. Mais en attendant, tu vas me baiser comme une bête et ça, ce n’est pas un fantasme, mais une envie qui me tord la chatte depuis longtemps. Alors, baise-moi, maintenant.
Elle n’a pas fini sa phrase qu’elle est déjà nue et en position, bien décidé à assouvir tous ses fantasmes, il la prend comme une bête et avec vigueur. Elle jouit presque instantanément en criant presque :
— Oh, Ouiii..., vas-y défonce moi la chatte ; baise-moi le cul et je te jure que tu vas souffrir...
— Oh oui..., Maîtresse ; je vais honorer tout ton corps pour le plus grand plaisir de ton esprit. Fais de moi ton serviteur, je serai ton esclave, ton jouet, fouette-moi, assouvis tous tes fantasmes sur moi ; mon corps tout entier t’appartient.
— Oh, Ouiii..., encore..., plus fort..., je jouis ... conclut-elle.
Lui, la ...
... bite encore à la verticale, et elle, chamboulée par ce qu’elle vient de vivre et d’entendre, trinquent à ce Noël qui promet d’être très chaud.
— Bob, tu as été formidable et j’ai hâte de remettre ça.
— Je ferais tout ce que tu me demanderas ; même les plus humiliantes et les plus douloureuses. J’aime jouir dans la douleur. Pour les indices, je te propose de sortir et je vais t’emmener dans un sex-shop et nous pourrons choisir tout ce que tu voudras.
— Alors, c’est d’accord, on trinque pour sceller notre accord.
— Oui, à ta santé Princesse !
— Santé mon esclave !
Ils s’installent nus sur les fauteuils et restent un instant sans rien dire, Sonia réfléchit et lui attend, car il ne sait pas quoi dire pour briser ce silence ; il rêve déjà à ce qui pourrait lui arriver. Sonia dit :
— Tu as raison, nous allons sortir pour aller chercher les accessoires qu’il nous faudra. Dans le magasin, nous irons chacun de notre côté, car moi aussi, je vais acheter certaines choses...
— Oui, mais je paie tout...
— Certainement pas, je ne veux pas que tu règles toutes les additions ; ce que je veux m’acheter, je le paierai avec mon argent. Car vois-tu, pour la première fois de ma vie, je peux régler mes achats la tête haute ; cet argent est propre.
— Je comprends, alors on se prépare ?
— Oui, et j’ai envie d’une bonne douche ; et c’est toi qui vas me laver.
— Avec plaisir...
— Ce sera ton travail de tous les jours, tu commenceras par nettoyer mon intimité avec ...