Police polissonne (31) - Histoires de Sexe

Police polissonne (31)

... pied droit à deux mains, le lève et le masse. Le mouvement a complètement ouvert le trench et elle offre au sergent la vue sur son intimité. Cette vision impudique et ce massage déclenchent en lui une envie tant désirée :

— Sonia !

— Oui Bob... dit-elle en levant les yeux vers l’homme.

— Il faut que je te dise que...

— Que ? Ah oui, c’est vrai tu dois me dire quelque chose ; alors ?

— On trinque ? Santé et joyeux Noël.

— Merci et à toi aussi, et que veux-tu pour noël ?

— Si tu savais..., il faut que je te dise ... ne m’interromps pas, s’il te plaît.

— D’accord, je t’écoute.

— C’est un peu compliqué à dire et je suis certain que tu vas éclater de rire quand tu vas savoir ce que je souhaite vivre depuis presque toujours.

— Promis, je resterai sage ; et puis chacun a le droit de vouloir vivre un fantasme. C’est bien d’un fantasme dont tu veux me parler ?

— Oui, c’est ça. Alors voilà : il y a une partie du corps de la femme que j’apprécie plus que toutes les autres, et depuis que je vous ai vues, toi et Myriam, toutes nues et pieds nus dans la neige ; je n’arrête pas d’y penser.

— Et que voudrais-tu faire ?

— Si tu me le permets, j’aimerais, respirer leur odeur, les réchauffer..., Sonia ..., je voudrais être ton esclave, dit-il en s’agenouillant devant elle.

Il place ses mains en forme de calice et accueille le pied droit de Sonia qu’elle vient juste de masser. De ses pouces, il masse le dessus des pieds, avance son visage et dépose ...

... un délicat baiser sur les orteils de la belle ; puis il prend sa flûte de champagne et verse un peu du liquide pétillant qu’il lèche aussitôt.

Elle, tout d’abord surprise par cette demande peu commune, puis le massage qu’elle a apprécié au plus haut point, et enfin le baiser qui l’a fait mouiller. Elle ne sait pas quoi répondre face à cet homme si autoritaire habituellement. Elle croise son regard implorant la réponse à sa demande.

— Alors comme ça, tu aimes les pieds, tu veux les choyer, je suis certaine que tu veux les adorer et les vénérer comme s’ils étaient des dieux et que je sois la déesse qui les porte. Tu veux être mon esclave et peut-être même souffrir ? C’est cela que tu veux comme cadeau de Noël ?

— Oui Sonia, je suis fétichiste du pied des femmes ; j’ai toujours eu ce fantasme sans jamais pouvoir le réaliser. Alors si tu veux bien...

— Déshabille-toi ! ordonne-t-elle.

L’homme s’exécute et dévoile un membre rigoureusement droit.

— Maintenant, tu vas te masturber, puis tu éjaculeras sur mon pied que tu lécheras afin de tout enlever. Si tu fais ça, j’accéderai à toutes tes demandes ; ou plutôt non, tu subiras sans rechigner à tous mes désirs. Sache que je peux être très exigeante, alors si tu acceptes ce pacte ; mets-toi à genoux et branle-toi.

— Merci, Sonia, merci, dit-il en se secouant la bite comme s’il s’agissait d’un shaker à cocktail.

L’éjaculation ne tarde pas à venir et inonde à grands jets la totalité du pied de la déesse, puis il ...