7 juin-14 juin
Datte: 16/05/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
jeunes,
alliance,
Collègues / Travail
vacances,
plage,
noculotte,
photofilm,
Masturbation
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... a réussi à tuer les policiers de la Gestapo qui venaient l’arrêter et à prendre le maquis. C’est elle qui organisé l’opération pour délivrer mon beau-père. Le général de Gaulle en personne l’a décorée et félicitée. Elle fait partie de la famille.
Elle ajoute d’un ton de confidence :
— Elle en fait doublement partie. Malgré la différence d’âge, elle a été le grand amour de mon beau-père et la réciproque était vraie. Ce sont deux personnalités exceptionnelles qui se sont trouvées à l’occasion de la guerre. D’autant que la famille avait apparemment déçu pendant cette période. Pierre a deux sœurs dont elle est la mère. C’est elle qui était à son côté quand il est mort.
— Ce devait être une fort belle femme, elle a encore beaucoup de charme.
— La plus jolie fille du pays. J’ai vu des photos d’elle jeune, elle était superbe.
Le temps de cette conversation, nous sommes arrivés à l’étage. La première porte à gauche est celle de la chambre d’Anne, donnant au sud et à l’ouest, la suivante celle de Gwendoline qui se trouve entre celle de sa mère et de sa sœur. Les cinq autres chambres de répartissent, deux en face de l’escalier, orientées à l’ouest et trois à droite, orientées vers le nord. Anne en profite pour me demander de déposer mes affaires dans une chambre vide pour éviter de faire jaser Andrée. Je vais même jusqu’à défaire le lit pour faire plus vrai. Nous allons ensuite au deuxième étage. Il y a encore deux chambres. Mais surtout il y a le grenier qui est rempli ...
... d’un incroyable bric-à-brac. Nous finissons par le sous-sol. Anne me montre l’atelier, particulièrement bien équipé avant de rejoindre le garage. Nous y retrouvons les deux sœurs. La propriété se trouvant un peu en retrait de la mer, c’est en vélo que nous y allons. Comme je ne connais pas Julouville, nous faisons un petit circuit pour que je puisse le découvrir. C’est une station balnéaire plutôt agréable, sans monument marquant. Nous sommes dimanche, il y a du monde, mais la plage de sable fin est vaste. Nous trouvons, assez facilement, de la place pour installer nos affaires, sans être tassés sur nos voisins. Comme ma blessure est bien cicatrisée, je ne résiste pas à l’envie d’aller tout de suite piquer une tête dans la mer, imité par le reste de la troupe. L’eau est délicieusement rafraîchissante. Je ne nage pas comme Mark Siptz, loin s’en faut, mais par contre, j’ai du souffle. Aussi je réussis assez bien à évoluer en apnée. Je plonge à proximité d’Anne et de ses filles qui discutent et me dirige vers elles. Je passe entre leurs jambes en laissant traîner mes mains aux endroits stratégiques. Quand j’émerge, Anne me dit :
— Arrête ! Il y a du monde. On peut nous voir.
— Pas à proximité. Les gens sont trop loin pour distinguer ce qui se passe sous l’eau.
Elle regarde autour d’elle et comme elle semble rassurée, je recommence l’opération. Tous nous rions et gloussons à qui mieux mieux. Je finis par être hors d’haleine. Anne me charrie sur mon souffle de plus en plus ...