7 juin-14 juin
Datte: 16/05/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
jeunes,
alliance,
Collègues / Travail
vacances,
plage,
noculotte,
photofilm,
Masturbation
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... pénètre. Tout en m’activant avec douceur, je peux lui caresser le dos, la nuque, les fesses, les jambes ou un sein. Elle soulève sa jambe du dessus, posant le pied sur son autre genou. Elle me permet ainsi de lui caresser l’intérieur des cuisses et même d’arriver à son petit bouton. Je ne précipite pas les choses. Ses sens sont un peu engourdis par sa jouissance précédente. Mais au bout de quelques temps, petit à petit, sous l’action conjuguée de mon jeu de mains et de la pénétration, elle s’anime de nouveau. Ses fesses viennent au-devant de ce pieu qui envahit son intimité. Je concentre mes caresses. D’une main je lui masse la nuque, de l’autre je m’occupe plus particulièrement de son sein accessible. Je le malaxe doucement, tirant, pinçant ou faisant rouler délicatement le téton durci entre mes doigts. Elle pose son bras contre son oreille pour qu’aucun obstacle ne vienne gêner l’accès à sa poitrine. De nouveau son souffle se fait plus rapide. De la voix, elle se met à m’encourager :
— Viens !… Je veux te sentir bien au fond… Je sens que ça revient… Vas-y plus fort… N’arrête pas…
Je ramone sa cheminée aussi profond et aussi fort que notre position le permet. Je regarde fasciné son cul bouger et ma queue la pistonner en cadence. Soumis à un tel traitement, je ne peux me retenir plus longtemps. Les mouvements de Dominique me permettent de garder un peu raideur, suffisamment pour ne pas être expulsé de son con. Elle prend son pied une deuxième fois en lâchant un soupir ...
... de contentement. Je me retire de son étui si accueillant. Elle se retourne, souriante. Nous échangeons un long baiser, avant de nous assoupir dans bras l’un de l’autre. Il est un peu plus de 10 h 00 quand nous émergeons de nouveau. Après une rapide toilette commune où les mains s’égarent volontiers, nous descendons.
Anne et Gwendoline nous accueillent devant le petit déjeuner. Nous les embrassons. D’un commun accord, nous décidons d’aller à la plage avant le déjeuner. Avant de partir, Anne me fait faire le tour du propriétaire. Nous partons par la salle à manger où nous venons de prendre notre petit déjeuner. Au rez-de-chaussée, on me fait voir, le salon, avec un superbe piano Pleyel, la bibliothèque, le jardon d’hiver. Nous ignorons la chambre bureau du mari d’Anne. En passant par la cuisine je suis présenté à Andrée. C’est une robuste sexagénaire, pas très grande. Elle nous annonce avec l’accent du terroir :
— Le repas sera prêt à une heure et demie. Et ne soyez pas en retard, ça n’attend pas.
Après avoir quitté la cuisine, Anne me confie :
— C’est mon beau-père qui l’avait engagée dans les années trente, alors qu’elle n’avait pas quinze ans. Pendant la guerre, elle a fait partie de son réseau. Elle a servi d’agent de liaison. Mon beau-père qui l’avait trouvée vive et intelligente lui avait fait poursuivre des études. Elle comprenait l’anglais et l’allemand, aussi elle s’est faite engager à la Kommandantur pour faire du renseignement. Elle a été découverte. Elle ...