1. 7 juin-14 juin


    Datte: 16/05/2018, Catégories: fh, ffh, jeunes, alliance, Collègues / Travail vacances, plage, noculotte, photofilm, Masturbation Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... court et glose sur ces jeunes qui n’ont pas de résistance, qui ne tiennent pas la distance. Ses filles la relaient. Je décide de faire une dernière plongée. Je passe entre les jambes de Gwendoline et de Dominique en arrivant près d’Anne, j’agrippe son maillot de bikini et le fais un peu descendre. Je lui fauche alors les jambes et profite de son déséquilibre pour le lui retirer complètement. Je m’éloigne rapidement de quelques mètres. Je fais alors de ma prise une petite boule tenue par l’élastique. Après avoir repris pied, Anne met quelques instants à se rendre compte qu’il lui manque quelque chose. Elle se précipite vers moi en disant :
    
    — Rend-le moi.
    — Il faut l’attraper.
    
    Plus elle s’approche, plus je me recule. Elle finit par m’attraper. Je jette alors l’objet à Dominique qui n’a pas compris ce qui se passait. En recevant la « balle », elle réalise la situation. Je lui lance :
    
    — On va voir si Anne a plus de souffle que moi. On va jouer à la baballe. Je crois qu’elle est motivée pour l’attraper.
    
    Anne s’approche de sa fille en tendant la main :
    
    — Allez ! Donne-le-moi maintenant.
    
    Dominique hésite. Sa mère est presque sur elle quand elle se décide. Elle me renvoie la boule de tissu en disant :
    
    — Je te laisse te débrouiller avec Bernard.
    
    Gwendoline, qui n’a toujours pas saisi de quoi il retourne, demande des explications à sa sœur. Cela la fait beaucoup rire. Voyant sa mère qui s’approche de moi, elle lève les bras en criant :
    
    — À moi ! A moi ...
    ... !
    
    Je m’empresse d’obtempérer. Fort peu charitablement, nous faisons tourner Anne en bourrique. Deux fois, elle réussit presque à intercepter son maillot volant. Maintenant, c’est à elle d’être essoufflée. Comme je tiens le trophée, elle s’approche de moi en disant :
    
    — Je m’avoue vaincue. Je n’en peu plus. Rend-le moi s’il te plaît.
    — D’accord, mais tu me devras un gage.
    — Lequel ?
    — Je ne sais pas encore. Je te le dirai plus tard. Alors d’accord ?
    
    Elle hésite un instant avant de répondre :
    
    — Je ferai tout ce que tu voudras, en insistant sur le tout.
    
    Je lui rends l’objet de sa convoitise qu’elle enfile prestement. Nous allons vers la plage. Anne me déclare :
    
    — Tu es un coquin.
    
    Puis se tournant vers ses filles :
    
    — Et vous des traîtresses.
    
    Tout le monde de rire. Après nous être essuyés, nous rentrons à la propriété. Nous prenons une rapide douche avant de passer à table.
    
    Midi : souvenirs, souvenirs… de pension. Andrée mange avec nous. Nous commençons par un soufflé au crabe qui explique pourquoi l’horaire était important. Vient ensuite un turbot farci, puis une épaule d’agneau avec des flageolets. Après un somptueux plateau de fromages essentiellement normands, viens une tarte aux pommes tièdes accompagnée de crème fraîche. Durant le repas, la conversation roule, passant de l’histoire locale, aux anecdotes de fac, à mes souvenirs de voyage en Amérique latine. Andrée est plutôt réticente pour évoquer ses souvenirs de la guerre. Elle est par contre ...
«12...262728...41»