7 juin-14 juin
Datte: 16/05/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
jeunes,
alliance,
Collègues / Travail
vacances,
plage,
noculotte,
photofilm,
Masturbation
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... J’ai hâte de te revoir. Je t’embrasse.
— Je t’embrasse moi aussi.
La pauvre, si elle savait ce qui l’attendait, elle serait moins pressée de venir. Une demi-heure après, elle arrive. Gwendoline dort toujours. J’ouvre la porte avant qu’elle ne sonne. Lorsqu’elle me voit, elle a l’air inquiète.
— Que t’es-t-il arrivé ?
— Rien de grave. Entre et assieds-toi, j’ai à te parler de choses plus importantes que de petits bobos.
Une fois assise, elle me regarde d’un air alarmé.
— Que se passe-t-il ?
Je prends mon courage à deux mains et entreprends de lui dire que j’ai fait l’amour avec sa mère la veille. Elle ne dit rien, elle me laisse parler. Il n’y a ni cris, ni pleurs, ni reproches. Elle me regarde simplement et demande :
— Et que s’est-il passé ensuite ?
— Tu as hélas cent fois raison, il y a une suite.
J’entreprends donc de lui narrer ce qui s’est passé ici depuis mon retour jusqu’à mon lever. Je ne lui dis pas que j’ai fait l’amour avec sa sœur en croyant le faire avec elle, ça paraît trop invraisemblable et pourtant… Quand j’ai fini mon récit, j’ose à peine la regarder. Je me mords les lèvres pour ne pas pleurer. Quel gâchis ! Je pousse un soupir et j’ajoute :
— Cette fois-ci c’est fini. Je ne pensais pas qu’un jour…
Je ne finis pas ma phrase, tant j’ai la gorge nouée.
— Que ne pensais-tu pas ?
— Que je me laisserais aller de la sorte. Surtout après t’avoir rencontrée. Etre désolé ne change rien aux faits. Je… Je crois que j’ai assez fait de ...
... dégâts comme ça. À côté de moi, un éléphant dans un magasin de porcelaine est modèle de délicatesse.
Je suis interrompu par l’entrée de Gwendoline qui regarde sa sœur, avant de se précipiter vers elle en fondant en larmes. Dominique l’entraîne vers ma chambre en me disant :
— Bernard, voudrais-tu préparer du thé, je crois que l’on va en avoir besoin.
Dominique réapparaît une bonne demi-heure plus tard. Je sers le thé, mais il n’est plus très chaud.
— Bernard, j’aimerais te poser quelques questions.
— Vas-y.
— Pourquoi as-tu appelé Gwendo ma Doa ?
— Parce que… Parce que… j’avais l’esprit un peu confus. Il faisait noir. Je ne me suis pas rappelé des événements de la veille. J’ai cru que… que c’était toi qui étais dans mes bras. Je ne me suis rendu compte que ce matin de ma méprise. Mais ne le dis pas à Gwendo. Imagine sa blessure, apprendre quelle s’est faite dépuceler en étant prise pour une autre.
— Pourquoi ne me l’as-tu pas dit tout à l’heure ?
— Parce que ça ne fait pas vraisemblable. Cela ressemble plutôt à de mauvaises excuses, pour faire passer la pilule. De toute manière ça ne change rien à ma responsabilité pour le reste. Je crois qu’il n’y a plus grand-chose à ajouter
— Ho mais si, il y a des choses à ajouter. J’ai ma part de responsabilités. Rien ne serait arrivé si j’avais parlé à Maman et à Gwendo de ce qui nous unissait. Quand je suis rentrée vendredi, après m’être endormie ici, Gwendo ne m’avait pas simplement entendue rentrer, elle m’attendait. ...