1. Sexe, mobile et chocolat chaud


    Datte: 10/06/2021, Catégories: f, h, fh, inconnu, gros(ses), grosseins, boitenuit, douche, amour, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme pied, Masturbation intermast, Oral coupfoudr, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... trouvant place entre ses fesses. Le soupir de bien-être qu’elle pousse me fait comprendre que je n’ai pas intérêt à bouger. Sans hâte, elle se met à se caresser, tout en prenant bien soin de s’offrir à mes regards. Je suis à sa merci, bandé comme un arc, pour la meilleure progression de son plaisir.
    
    Plus rien ne semble plus compter pour elle que la discrète pénétration que je lui offre, et mon envie d’elle, dont elle peut vérifier l’intensité à la raideur de ma queue qui dépasse largement de l’eau. Dans cette position, chacun peut profiter du corps de l’autre, du désir qui émane de l’autre, et de la lente montée du plaisir qui augmente encore notre complicité amoureuse. Elle resplendit, chacun de ses gestes participe à la symphonie érotique qui se joue dans son corps si manifestement à la recherche de la jouissance.
    
    Cet échange à distance semble interminable. Elle se délecte de chaque frémissement, de chaque onde de plaisir qui surgit entre ses reins, ou plus profondément encore. Jusqu’à ce que ses jambes n’arrivent plus à la porter, tant ce qui s’agite en elle mobilise ses moindres forces. À la recherche d’une position plus confortable, elle se laisse glisser dans l’eau, tout en veillant à bien me garder arrimé entre ses lèvres intimes. Sa main virevolte de plus en plus fort sur son bas-ventre. Chaque vague qui parcourt ses reins se répercute dans l’eau du bain. Je peux sentir l’orgasme monter en elle, rien qu’en écoutant le clapotis de plus en plus intense de ...
    ... l’eau. Toute l’étendue liquide qui nous entoure participe à son bonheur, la berçant au rythme de ses frissons intimes.
    
    Enfin, la voilà revenue au point où je l’avais abandonnée. Son ventre se crispe, ses reins se tendent, elle s’empare de mon pied, et tente de m’enfoncer encore plus profondément en elle. Déjà, les premières contractions déferlent. Tout son corps exprime la violence de son plaisir, elle tremble, vibre, crie, se tord sous le déferlement de l’orgasme, faisant gicler d’immenses vagues hors de la baignoire. L’idée que sa volupté puisse se mesurer à l’étendue de l’inondation m’excite tout autant que de la voir se faire jouir, empalée sur mes doigts de pieds.
    
    Il est temps pour moi de la rejoindre. Tout en veillant à ne pas interférer avec son bonheur, j’arrive à me tourner légèrement, de manière à faire coulisser ma queue entre ses jambes. Elle ouvre brièvement les yeux, contemple la scène et m’encourage à me lâcher. Il n’en faut pas beaucoup plus. Quelques mouvements des reins suffisent à me faire craquer à mon tour. Au moment où j’expulse mon jus laiteux contre son genou, elle tend la main pour en récolter un peu. Puis, après l’avoir goûté sur le bout de ses doigts, elle me prend en main et accompagne mes dernières contractions d’un délicieux massage. Je ferme les yeux sous la caresse, vidé, comblé, le ventre en feu.
    
    Il nous faut du temps pour arriver à nous reprendre. Il y a plus d’eau dans la salle de bains que dans la baignoire. Nous nous sommes laissé ...
«12...567...15»