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La mère de Jean (5)
Datte: 09/06/2021, Catégories: Divers, Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... proportions remarquables. Alors que la bouche de l’homme folâtrait avec le sexe maintenant béant de son amie, un des pieds de Lucie vint frotter ce pénis en érection. Lui aussi eut un soupir et on aurait presque pu apercevoir la chair de poule qui envahissait tout l’épiderme du vieil homme. Il suçait, tétait et ce n’était plus que petits bruits étranges qui remplissaient le minuscule salon. La vision de ces deux êtres qui se donnaient du plaisir finit par emporter la belle Adèle dans un délire sexuel infernal. Un court instant elle songea à l’enveloppe sur la desserte et ses doigts s’affolèrent sur la jupe autant que sur sa chemise. Prestement elle se retrouva en slip et soutien-gorge. Devant elle à deux pas, nous seulement elle avait le son, mais venait aussi s’y mêler, une odeur entêtante de cul. Elle ne s’aperçut pas que deux paires de mirettes venaient de faire une pause sur sa toison abondante, mais bien rangée. Cette crinière qu’elle montrait suite à la descente de sa culotte sur ses genoux. Sa main aussi venait sur sa chatte aux reflets de feu. Les deux autres constatèrent de visu qu’Adèle ne faisait pas de teinture à sa chevelure. Et Gustave bandait encore plus de voir ce sexe poilu, un souvenir de ses jeunes années qui revenait à la surface, sans doute. Il se remit à l’ouvrage et les plaintes montaient de trois gorges éloignées les unes des autres. Mais Lucie avait oublié les frictions faites avec ses orteils sur le mât de son amant. Elle se dandinait au ...
... rythme de la langue qui lui titillait le clitoris. — oooOOooo — Si elle savait à qui était la bouche qui courrait sur sa chatte, elle ne souvenait plus de les avoir vu ou entendu les deux se déplacer. Le résultat était le même. Gustave après avoir léché la fente toute lisse faisait désormais joujou avec celle plus femelle d’Adèle. D’autorité, il avait écarté les doigts qui servaient d’archet au violon féminin et les siens, alliés à sa langue dansaient des slows langoureux sur la faille broussailleuse. La propriétaire du sexe cajolé n’ouvrit les yeux que pour s’imprégner d’une image hors du commun. Son amie, couchée sur la moquette, entre les cuisses du vieux bonhomme lui taillait une pipe royale. Les soupirs se rapprochaient et la bonne dame était loin de son Jean. Elle oubliait aussi la nuit passée à Nancy tout autant que la chambre de Léo. Depuis la renaissance de sa sexualité, elle devenait insatiable, pour ne pas dire gourmande. Mais en cet instant, la caresse subtile que lui prodiguait le type, lui ôtait une partie de son pouvoir de penser. Il avait de la pratique le bougre et c’était… diablement bon. Elle aussi sentait fondre sa motte sous les assauts de doigts qui la pistonnaient et d’une baveuse qui provoquait son clitoris. Il la léchait toujours quand Lucie avait remonté son corps de façon à faire coïncider son ventre et celui de Gustave. Elle s’empalait sur le jonc raide alors que l’ancien suçotait toujours le pic rose de son amie. Adèle voyait la nuque de sa ...