La mère de Jean (5)
Datte: 09/06/2021,
Catégories:
Divers,
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... copine qui effleurait alors l’assise du fauteuil sur lequel elle gémissait. Gustave quant à lui avait les deux jambes de part et d’autre de son corps et il bourrait de grands coups de reins le vagin de la brune. Celle-ci hurlait à la mort et les sens affolés, Adèle se mit à jouir elle aussi.
Les jeux plus ou moins pervers durèrent un long moment. Dans les échanges incroyables qui suivirent, les deux femmes se partagèrent le bonhomme. Mais il ne rendit pas les armes rapidement. Il savait se retenir le bougre et s’il l’avait voulu, il aurait pu prendre aussi Adèle. Ses cuisses luisaient de sa mouille qui coulait tant elle avait envie. Tous les trois faisaient corps sur la moquette de la suite. Comme une affamée Lucie était remontée plusieurs fois sur le ventre du gaillard. Et lui l’avait laissé faire. Mais il se démenait comme un beau diable pour un coït qui rendait dingue la brune.
De temps à autre il promenait ses doigts sur le visage de la rousse, enfonçait un de ceux-ci dans sa bouche et par réflexe, par envie, allez savoir, elle tétait l’intrus comme s’il s’agissait d’une bite miniature. Mais au bout de longues minutes, une couche de fine sueur sur le font, Gustave explosa dans le ventre accueillant de la brune. Adèle n’en finissait plus, elle aussi, de ressentir de longs spasmes qui lui nouaient les tripes. Mon Dieu, et dire qu’elle renâclait au début, qu’elle faisait la fine bouche. Dans son comportement, il y avait un peu de la salope qui se réveillait.
Une ...
... longue pause durant laquelle Gustave servit le champagne, assura l’intermède entre les actes de la pièce. Mais au bout d’une bonne demi-heure de rires et de parlotte, la chandelle du bonhomme était de nouveau allumée. Et cette fois, il était bien décidé à en découdre avec la seconde de ses invitées. Plus question d’y échapper, mais en avait-elle eu seulement l’intention, plus question de se soustraire à une chevauchée. Du reste, sa copine lui tenait la main et lui donnait de petits bisous dans le cou. Elle lui murmurait aussi des encouragements.
— Doucement ma belle ! Tu vas voir comme c’est bon. Laisse notre ami te faire l’amour.
— …
— Et toi Gustave, bon sang, ne la fait pas attendre plus… regarde comme elle est mouillée. Ne vois-tu pas qu’elle n’attend plus que ça ? Allez un peu de courage. Là… oui. Bon ça ne veut pas rentrer. Je vais guider la bite du Monsieur en toi ma belle. Ne t’imagine pas que je veux te caresser… Gourmande va. C’est bien ! Garde les jambes bien ouvertes. Tu vas t’apercevoir que notre « Gus » sait s’en servir de son engin ! Voilà, tu la sens bien ?
— Mmm !
— Et toi vas-y ! Montre-lui comme tu la domestiques ta trique, fais la grimper aux rideaux. Allez secoue-toi, remue-toi le cul ! Mets-y du tien, elle s’offre à toi. Alors qu’est-ce que tu attends ? Vas-y, défonce là, baise là, oui… plus fort, plus vite… non, plus lentement.
Le chef d’orchestre en jupon… façon de parler puisqu’elle était toujours aussi dénudée, le maestro qui guidait ...