1. Deuxième nuit


    Datte: 09/06/2021, Catégories: fhhh, grp, couleurs, grossexe, poilu(e)s, bizarre, fsoumise, soubrette, facial, double, fsodo, Partouze / Groupe fantastiqu, Auteur: Lucy G, Source: Revebebe

    ... les empoigne, tourne la tête à droite puis à gauche, pour les emboucher ou les mordiller (ce qu’ils semblent apprécier).
    
    Tous m’entourent, et me voilà à choisir, à passer d’une queue à l’autre, le plus souvent pour les engloutir autant que je le peux, les faisant glisser de l’orée de mes lèvres jusqu’à ma gorge. Moi qui n’avais fait des fellations à mes partenaires que de façon très "classique", j’ai le sentiment d’être une actrice hard perdue dans un film d’horreur. En tout cas, ça m’émoustille follement. Simplement, s’ils pouvaient arrêter de me baver dessus !
    
    Combien de temps je passe ainsi ? Peut-être une demi-heure, ou plus.
    
    Tout décrire serait fastidieux. Il y a seulement un des hommes-loups qui est beaucoup moins agréable, avec des manières un peu violentes. Souvent il me prend la tête pour m’enfoncer plus encore ; j’en étouffe. Je suis prête à parier qu’il s’agit du "jeune diable". J’aimerais lui dire :"Eh bien, tu l’as, ta petite pute… Tu te sens assez dominant comme ça ? "
    
    Au bout de tout ce temps, mon sexe est plus trempé encore que ceux-là ; mes poignets et surtout ma mâchoire commencent à être douloureux. Je faiblis, puis m’arrête. Je ne peux plus…
    
    Deux monstres saisissent subitement mes poignets, les soulèvent : je décolle avec un cri ! Ils me font traverser la pièce, me plaquent sur le mur, à peut-être trente centimètres du sol.
    
    Deux autres empoignent les bottines, les lèvent plus haut que l’horizontale ! Ce n’est pas très douloureux, mais je ...
    ... ne dois pas avoir l’air très glamour ainsi ; cela ne doit pas être leur souci principal. Je me sens un peu ridicule. J’ai en tout cas "tout" de visible ; je sens que mon minou s’est ouvert avec l’écartement de mes jambes, face à celui qui doit être le chef de meute.
    
    Il s’approche, son sexe dressé, le pose à mon entrée, et d’un léger coup de reins, il envahit ma cavité intime, m’arrache un long cri de plaisir. À peine ressort-il qu’il replonge, plus profond encore, puis encore. À chaque fois qu’il s’écrase au fond, des spasmes me tirent des râles. Les coups de pilon se succèdent, me compriment le ventre, me font tressauter à chaque fois. Bientôt, le plaisir ne cesse plus, et pendant peut-être dix minutes, ce n’est qu’une longue jouissance, qu’un long cri ponctué de hoquets.
    
    Il pose ses mains griffues sur mes fesses, les soulève sur sa queue. Peut-être trente fois je gémis des "oui… oui".
    
    Son sexe quitte alors le mien dans un bruit liquide. J’ose murmurer un "encore".
    
    Celui qui me tenait la jambe droite la donne à celui qui me tient un poignet, m’écartelant un peu plus. Il se met à quatre pattes, dans une posture des plus animales, et entreprend de me pourlécher la vulve. Je gémis de plus belle. Puis il se redresse et me pénètre d’un coup. Il me baise rapidement, je ne suis plus que plaintes lascives. Il appuie sur mes cuisses, ses griffes en déchirent les bas.
    
    Lorsqu’il se dégage, sans avoir joui, c’est celui qui me tient l’autre jambe qui s’approche à peine et ...
«1234...8»