1. Deuxième nuit


    Datte: 09/06/2021, Catégories: fhhh, grp, couleurs, grossexe, poilu(e)s, bizarre, fsoumise, soubrette, facial, double, fsodo, Partouze / Groupe fantastiqu, Auteur: Lucy G, Source: Revebebe

    ... me plante simplement son gland qui ressort à chaque fois. C’est un autre plaisir qui m’étreint.
    
    Bientôt je succombe, les jambes me font mal ; ils le sentent et les abandonnent ; je suis toujours tenue en l’air, les jambes pendantes. Le dominant vient me retirer délicatement - pour un lycanthrope - ma jupe, lourde et inutile. Je me lâche complètement et enserre mes jambes gainées autour de son bassin. Il me tient alors par le cul, il me libère les bras et je m’agrippe à la toison de ses épaules. Je m’empale sur son sceptre de chair, et avec mon poids dessus, j’ai l’impression que je le prends entièrement, ce qui n’est pas possible. Ses coups de reins m’achèvent, mes yeux se révulsent.
    
    Il me pose sur la petite table, me tenant toujours de ses mains et de sa queue. Enfin allongée, à part les jambes qu’il me tient écartées, je me repose un peu le corps, à défaut des sens. Il continue de me baiser, tandis qu’un autre monstre s’approche de mon visage. Étant sur le dos, je ne peux rien lui prodiguer. Mais celui qui me pénètre me bascule alors sur le côté gauche, me tient une jambe en l’air. Encore écartelée… tant pis.
    
    Son pénis gigantesque à nouveau me comble le vagin. Devant mon visage, l’autre a tout loisir à présent de me présenter sa queue qui finit par investir ma bouche.
    
    Alors que je prie pour qu’il n’éjacule pas dedans, l’autre se dégage, pousse un grognement terrible, et je comprends qu’il jouit lorsque je sens un liquide lourd et épais me couvrir la jambe ...
    ... jusqu’à la cuisse nue. Il s’éloigne et j’en profite pour abaisser ma jambe épuisée. Deux s’approchent et j’imagine qu’ils vont se disputer les faveurs de ma chatte. Un frisson de peur me gagne lorsque je les sens toujours avancer. Non ! Que font-ils ?
    
    Celui près de mon cul ne cède pas et appose son pieu sur mon anus. Non ! J’ai presque toujours refusé cette entrée à mes amants et ne suis pas prête à accueillir ne serait-ce que le gland qui se presse, s’immisce déjà. J’ai beau serrer, elle s’entrouvre, se distend jusqu’à la douleur qui me fait crier. Au plus large, il me semble que je vais me déchirer, me fendre comme une bûche. Quand il est passé, c’est au tour d’en éprouver la longueur, durant de longues minutes, où je m’épuise à crier, où je sens chaque millimètre m’accabler. Devant moi, le monstre essaye de retrouver ma bouche qui se dérobe : je ne peux qu’anhéler, en larmes. Je mets du temps aussi à sentir que mon sexe est pris, timidement, dans le peu d’espace qu’il reste.
    
    J’ai l’impression de perdre la tête lorsque je sens qu’il est au bout, que tout en est entré ; je suis investie à en fusionner avec ce corps plaqué à mes fesses. Je me dis que rares sont les êtres à avoir été si profondément visités.
    
    Dans mon délire, je crois découvrir que je le recherchais : avoir des sensations extrêmes, être une aventurière du vice, comme j’ai pu l’être pour la science paranormale. Dans ma folie, je me crois héroïne sadienne qui dépasse les sens humains. Cela me donne un semblant ...
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