1. Deuxième nuit


    Datte: 09/06/2021, Catégories: fhhh, grp, couleurs, grossexe, poilu(e)s, bizarre, fsoumise, soubrette, facial, double, fsodo, Partouze / Groupe fantastiqu, Auteur: Lucy G, Source: Revebebe

    ... !
    
    Je commence par mettre le corset, difficilement avec ce laçage d’un autre âge. J’enfile un bas, puis l’autre. Je réalise alors qu’il n’y a pas de culotte. Un luxe inutile qui finirait déchiré, je suppose. Je pense alors aux étreintes à venir, un peu pour épuiser ma peur, un peu pour voir si j’en ai vraiment envie : oui, indéniablement, même si je ne ressens pas d’excitation dans mon bas-ventre – elles m’ont trop épuisé de ce côté-là…
    
    Je mets enfin la jupe, lourde et tombant aux chevilles. Je remarque au pied de la table des bottines, montantes, et elles aussi paraissant des siècles passés. Là encore, le laçage est d’un fastidieux… comme on est bien au XXIe siècle !
    
    Ceci dit, je me trouve vraiment belle ainsi, si seulement il y avait un miroir. J’ai l’impression d’être accoutrée davantage pour une messe noire que pour une orgie. Nous verrons bien.
    
    Je m’allonge et ne tarde pas à m’endormir, me demandant si je n’ai pas été droguée.
    
    ***********************
    
    Lorsque je me réveille, il fait nuit noire dehors, de nombreuses bougies donnent une ambiance feutrée à la pièce.
    
    Les monstres sont là. Mon Dieu, ils ne sont pas deux… ils sont cinq !
    
    Une sueur froide m’emplit ; je n’avais pas prévu ça. Dire que je ne savais même pas combien ils étaient dans cette communauté !
    
    Tant pis, il est trop tard pour reculer, d’ailleurs ça n’est pas possible. Autant garder bonne contenance.
    
    Je me lève pour me diriger vers ces créatures haletantes, bavantes. Ils sont ...
    ... décidément très impressionnants. J’essaye de ravaler mes craintes.
    
    Ils m’entourent, semblent renifler l’odeur de la robe. Elle leur rappelle certainement quelque chose, ou quelqu’un…
    
    Je dois me lancer. D’un air (faussement) hautain, je porte ma main à leurs attributs, palpe des bourses volumineuses et des verges au repos, bien que déjà fermes. C’est avec les mains ce qu’ils ont conservé de plus humain.
    
    Je les sens se durcir peu à peu, un à un. C’est extrêmement jouissif de les sentir à ma volonté, "à ma main". Ils semblent apprécier, j’ai presque envie de dire tout haut :"braves toutous", histoire de détendre l’atmosphère. Mais je préfère éviter.
    
    Un est particulièrement réceptif : il est déjà dressé, résolument dur. Un jeune ? Mon Dieu, ces sexes sont vraiment intimidants, pas tant dans leur épaisseur que dans leur longueur qui les fait presque paraître fins… Quand je pense à la préoccupation principale des garçons, je rigole intérieurement.
    
    Je m’accroupis alors, pour flatter un peu mieux le jeune vaillant. Je lui donne un coup de langue, le tiens fermement et lève les yeux. Mais croiser son regard est tout de même effrayant, je préfère me concentrer sur l’objet, que je polis sur mes lèvres et ma langue, avant d’engouffrer le premier tiers dans ma bouche. C’est chaud, palpitant, d’un goût certes un peu animal, mais supportable (après tout, ce sont des hommes qui se lavent, quand même !)
    
    Deux autres s’approchent et veulent leur part. Ils me frôlent les joues, je ...
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