Le cadeau lointain - Histoires de Sexe

Le cadeau lointain

... en se tortillant en des poses langoureuses afin de maintenir cette magnifique érection qu’elle devinait. Il bandait si fort qu’une fois le premier clip du pantalon ouvert les autres cédèrent immédiatement sous la pression du sexe de son ami. Le pauvre homme n’en pouvait plus d’être ainsi sensibilisé par tout ce qu’il avait vu, touché, sucé, mâchonné, léché, mordu même… et son sexe distendait à présent la fine étoffe de son caleçon, au point que sa compagne pouvait déceler les courbes de sa lance d’amour si prête à entrer à nouveau dans la bataille.

La partie qu’il devait subir n’était pourtant pas encore finie : le pantalon et le caleçon étaient toujours en place. Afin d’être plus à l’aise, mais aussi parce qu’elle avait eu une idée, elle retira enfin ses escarpins, tout en restant debout sur le lit. Seulement, elle ne les jeta pas au sol. Elle se pencha vers son amant, déposa un baiser long et langoureux sur son nombril et tout comme elle avait utilisé la pointe d’un de ses talons pour la ceinture, elle les coinça de part et d’autres du pantalon. Une lueur d’inquiétude traversa les yeux de l’homme mais elle le rassura d’un clin d’œil suggestif. Alors, sans le toucher directement, très lentement, elle fit glisser le long de ses jambes le lourd tissu de jean qui fort heureusement n’était pas très serré. Cependant, elle prit plaisir à laisser exprès sur tout le trajet vers les chevilles de l’homme un petit sillon rosé sur chacune de ses jambes.

La position dans ...

... laquelle elle se trouvait permettait à son amant de voir ses seins effleurant ses jambes au fur et à mesure qu’elles étaient découvertes par les insidieuses chaussures donc il savait qu’il devait en payer le prix…

Ne restait plus que le caleçon. Qu’allait-elle inventer pour qu’enfin son amant se retrouve en tenue d’Adam et qu’il reprenne les rênes de cette chevauchée vers les cimes du plaisir ? Elle avait hâte, elle aussi, de retourner sur le pas de cette porte où il l’avait conduite de nombreuses fois cet après-midi pour enfin en franchir le seuil et se laisser aller en se répandant aussi généreusement que lui. Elle le savait, elle le sentait, aujourd’hui elle serait une femme comblée, il n’y avait pas de doute, le désir qui tordait cruellement ses reins la préparait à ce moment suprême.

Il lui fallait pourtant encore jouer avec lui, se jouer de lui. Elle voulait qu’il brise les chaînes imaginaires qu’il s’était lui-même imposées. Elle savait que s’il faisait cela leur étreinte serait d’autant plus torride. Lascivement elle s’attaqua donc à cette dernière pièce de tissu qui ne laissait plus guère de mystère sur l’état de son compagnon. Après l’avoir à nouveau caressé voluptueusement sur toutes les autres parties de son corps, ses mains se glissèrent sous le soyeux shorty en évitant de toucher ce sexe si gonflé de désir qu’il bougeait seul, cherchant en vain l’emprise des mains ou de la bouche qui lui permettrait d’exalter plus encore ses envies.

Par l’étirement des côtés ...