Le cadeau lointain - Histoires de Sexe

Le cadeau lointain

... extérieurs de ce sous-vêtement, elle réussit à faire enfin apparaître au grand jour ce fier mat de cocagne qui pointait si droit vers le ciel. Libéré ainsi il était si beau, si vibrant de tension à peine contenue qu’elle dut se faire violence pour ne pas le prendre à pleine bouche et faire à son amant une fellation qui ne finirait que par l’explosion de ce missile à la tête si chaude qu’elle luisait déjà. Avant il lui fallait finir d’ôter ce caleçon, ce qu’elle fit reculant très, très lentement jusqu’au bas des chevilles.

Arrivée là elle se plaça entre les jambes de son ami et elle commença sa remontée graduellement sensuelle vers l’objet de sa convoitise. Elle était sur le qui-vive car son compagnon gémissait de plus en plus fort au fur et à mesure que sa langue qui lapait les gouttelettes de sueur le long de ses cuisses s’approchait du delta où la source de tous ses plaisirs passés et à venir l’attendait.

Tout comme son amant avait apaisé ses rougeurs en enflammant ses sens, elle léchait de sa langue coquine la ligne rosée laissée plus tôt par ses talons. Les mains de son ami tremblaient du désir de l’empoigner, de lui faire cesser ses effleurements suaves qui le mettaient à la torture. Il lui faisait comprendre à demi mot, dans des râles sourds, que son corps la réclamait, qu’il voulait sa bouche sur lui, qu’elle devait cesser de l’exciter pour enfin l’enserrer entre ses lèvres et qu’elle devait de sa langue lui procurer la fragile et si brève sensation qu’il était ...

... enfin là où il devait être. Alors pour le faire enfin céder, pour qu’elle perde la partie mais gagne la guerre, pour que le combattant reprenne le dessus sur la faible femme qu’elle était, elle refusa ce précieux refuge à cet hôte pourtant si attendu. Elle continua tant et si bien ses cajoleries appuyées sur les contours du sexe de son amant, à sa base, sous ses testicules jusqu’à la moiteur de la naissance de sa virilité qu’il la renversa d’un coup sec et l’emprisonna enfin sous tout son poids d’homme, au bord du viol.

7ème partie : Les septièmes ciels

Il était redevenu le maître, elle l’aimait ainsi. Il était fort, puissant, sauvage mais savait se contenir pour l’amener avec lui si haut qu’ils ne pourraient redescendre ensemble qu’après une longue récupération.

Les mots qu’il lui disait alors au creux de l’oreille, tandis que ses mains pétrissaient violement ses seins, étaient à la fois durs et tendres. Il lui disait combien elle lui avait fait plaisir tout l’après-midi, combien il avait apprécié ce jeu sans fin, combien il avait envie d’elle et le lui montrait avec son sexe si dur qu’il frottait puissamment contre son bas-ventre. De sa bouche il la mordait et la suçait pendant que ses mains lui faisaient endurer souffrance et plaisir en s’acharnant sur ses si jolis tétons, offerts à l’air libre par le redresse seins, qui n’en pouvaient plus de durcir et de se tendre pour répondre à ses sollicitudes.

Retrouvant plus encore son côté dominant, il arracha le string ...