Le cadeau lointain - Histoires de Sexe

Le cadeau lointain

... sollicitude de la femme et il la fit se relever en déclarant, après ce long et sensuel travail effectué, qu’elle était propre et prête à revêtir ses nouveaux dessous et il commença à lui enfiler ces petites pièces de tissus à l’origine de cette torride bataille.

Maîtrisant parfaitement ce type de tenue vestimentaire, elle lui indiqua l’ordre dans lequel il fallait l’habiller. L’homme se plia très volontiers à ses consignes d’autant plus qu’il en profitait entre chaque pièce de vêtements pour lui administrer de brûlantes caresses qui ne laissaient aucun doute sur les émotions qu’il ressentait.

Le remonte seins fut le premier à être enfilé. Il lui permit, lorsque les deux lourds et doux mamelons furent en place, de mieux encore les titiller, les mordiller, les enserrer entre ses doigts, les pincer au point de réussir à rendre leur bouts aussi durs qu’ils se dressaient vers le ciel comme deux tours. L’assaut était à ce point vigoureux qu’il fit supplier sa compagne de cesser les hostilités tant ses tétons étaient devenus douloureux sous ses coups de langue et ses attouchements fébriles.

Vinrent ensuite le porte-jarretelles et les bas avant d’en arriver à enfiler le string. En effet, si les hommes ont, pour certains, l’habitude d’ôter ou de jouer avec ce style de petite pièce de tissu, ils ne savent que peu de quelle façon on la place. Là encore les conseils de la dame furent l’occasion de bien des palpations tant externes qu’internes juste pour voir, par exemple, s’il ...

... n’y avait pas de lieu, bien caché, où les attaches des bas pourraient s’accrocher. De même les contorsions imposées par Monsieur pour enfiler les dits bas en positionnant la dame couchée sur le lit les jambes relevées l’une après l’autre contre son torse en laissant à chaque mouvement entrevoir l’ouverture de ce lieu que les Asiatiques nomment la porte de jade, les mettaient tous deux en péril de ne pas finir le jeu.

Au prix d’une forte concentration et en pensant au plaisir de voir la parure totalement portée, le string fut enfin remonté et l’homme fit se chausser la dame avant de la faire parader devant lui pour vérifier si tout était bien en place, et si l’ensemble convenait bien aux courbes de celle-ci. Ainsi vêtue, alors que l’homme, assis sur le lit, était lui toujours habillé, elle déambula à travers la pièce, testant çà et là la solidité du tissu et des attaches. Le jeu était reparti…

Elle monta sur une chaise, tentant d’attraper des pulls situés sur les étagères les plus hautes. Elle prit bien soin d’offrir à la vue de son amant, alité, son entrecuisse en appuyant un de ses pieds, chaussé de ses escarpins à talon aiguille, sur le dossier de la chaise. Puis, ayant, par mégarde, laissé tomber un pull au sol, elle descendit de son perchoir et se pencha en avant de façon à ce que son ami ne perde pas de vue l’objet qu’il convoitait tant. Il en profita d’ailleurs si bien qu’il lui demanda de vérifier s’il n’y avait rien qui ait glissé sous l’armoire et la fit même se ...