Le cadeau lointain - Histoires de Sexe

Le cadeau lointain

... de l’objet de ses attentions et l’homme émit alors un grognement des plus clairs, manifestant ainsi ce qu’il ressentait. Durant de très longues minutes elle fit subir à ce membre en érection de nombreux coups de langue et de multiples succions qui la vengèrent, pour quelques instants, des douces violences subies sur cette même table. Oui, ce qui se passait maintenant dessous allait réparer les préjudices subis par elle dessus ! Mais hélas c’était sans compter sur la résistance de l’homme qui lui fit stopper ses prouesses avant que de ne plus pouvoir se retenir.

Après l’avoir fait sortir de dessous la table, l’avoir rajustée et s’être lui-même rhabillé, il l’embrassa longuement et tendrement, la prit sur ces genoux et la câlina en lui faisant mille et un petits bisous tout doux qui avaient pour but de calmer les ardeurs avant de passer à la phase finale du programme.

Il était donc temps de faire les essayages et, pour ce faire, ils décidèrent de monter à l’étage dans la chambre où la suite de leurs ébats serait mieux accueillie.

5ème partie : L’habillage

Ils s’étaient accordés sur le fait que c’était lui qui devait la revêtir de cette parure si coquine offerte par un tiers… mais avant, il fallait qu’il la dévêtît. Le jeu ne semblait plus finir, comme au Monopoly, c’était retour à la case départ et, pour pimenter les choses, elle ne se laissa pas faire. Certes son string gisait au fond de son sac à main depuis longtemps mais il lui restait sa robe, ses chaussures ...

... et son soutien-gorge !

La lutte était inégale mais le combat fut ponctué de coups bas comme lorsqu’elle réussissait à s’emparer du sexe de son ami au travers de son pantalon, ce qui l’immobilisait quelques instants avant qu’il reprenne le dessus. Les dés était pipés, ils le savaient tous les deux mais ce combat amoureux faisait partie de ce jeu qu’ils aimaient tant.

Elle se retrouva donc totalement nue offerte et ouverte sous le joug de son amant qui, avant de lui faire porter ce présent qui leur avait déjà procuré à tous deux tant de plaisir, prit le temps de faire disparaître avec sa bouche toutes les traces que ce pugilat avaient laissé sur son corps. Il la lécha à nouveau, partout, de bas en haut, ne laissant aucun coin de sa peau vierge de ses baisers. La langue de l’homme apaisait les rougeurs de son épiderme tout en attisant le feu interne qui la consumait de plus en plus. Parfaitement conscient de l’effet produit sur sa compagne, il ralentit même le rythme lorsqu’il s’approcha de sa zone humide. Là, comme s’il découvrait un nouveau monde, il l’explora très lentement, très précautionneusement, comme s’il avait peur de provoquer la colère de la propriétaire des lieux qu’il investissait du bout de sa langue, de ses lèvres et de ses dents si délicates à ce moment-là.

Des ondes de plaisir soulevaient le corps de sa compagne. C’est son corps à elle qui réclamait la force de l’homme, sa virilité, sa puissance… Mais il était encore trop tôt… L’homme ne céda pas à la ...